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30 novembre 2010 2 30 /11 /novembre /2010 23:24

 

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Trailer Park of Terror

 

Oh !

Un film de zombie ici !

Que c'est étrange !

Trailer Park of Terror vaut surtout  le détour pour son début et ses quelques scènes de flashback, bien trash. Avec du bon redneck dégénéré qui fait plaisir à voir. Ou pas d'ailleurs vu leur gueule.

Et puis Satan en cowboy qui se la pète, c'est sympa aussi. Sans compter la fusillade du début.

Le truc par contre, c'est que la partie zombie est un peu hachement moins bien. Bon, ça reste du zombie, donc j'aime bien, mais... Disons qu'il n'y a rien d'exceptionnel dedans. Toutefois, j'ai quand même eu quelques sourires devant. Avec le zombie rockeur et le zombie amoureux, y'a quelques passades fort agréables. Sans compter que l'héroïne joue bien son rôle de zombie nymphomane et parfaite hôte qui règne sur son petit village d'une main de maître. Une parfaite femme fatale.

Le souci, c'est ptêt ceux qui vont servir de plats aux zombies. Ils ne sont pas très intéressants. La seule chose amusante, c'est de les voir se faire découper (et encore, ça reste soft).

Au final, c'est donc un parfait film-sandwichs.

 

 

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Prince of  Persia : les Sables du Temps

 

Je m'attendais à un film pourri et réalisé avec des pieds comme tout blockbuster américain qui se respecte et qui adapte un jeu vidéo,  le genre de films qu'on regarde en consommant bière sur bière et en faisant des commentaires toutes les 5 minutes sur la stupidité des scènes (genre comme pour G.I. JOE), mais finalement... J'ai retrouvé un point sympathique dans ce film : j'ai trouvé que les scènes de cascade collaient vraiment  à l'univers Prince Of Persia ; sur ce point, je n'ai pas été du tout déçu. On retrouve bien l'ambiance du jeu avec ses accrobaties et autres roulages, sans compter les attaques qui servent à se débarasser d'un adversaire (et qui occasionne un ralenti plus ou moins utile - quoique.... Notons que le ralenti est même utilisé parfois de manière très pertinente). Et l'acteur principal ressemble aussi au personnage originel, ce qui rend certaines scènes visuelles particulièrement attrayantes. Après, pour le reste...

Bah, ça se regarde, hein. Ca reste un blockbuster à la réalisation efficace. Mon plus gros reproche reste néammoins que le scénario du jeu vidéo offrait déjà suffisament de points d'accroche (oui bon, pas beaucoup vu que c'était un jeu d'action, mais quand même ! ) pour fournir un scénario plus proche du matériel originel et pas un truc aussi neuneu que ce film.

Encore un parfait film à regarder avec des bières et des pizzas.

 

 

 

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La Cité de Dieu

 

Tiens, il était temps de remonter le niveau avec ce film. La Cité de Dieu se déroule dans les favelas brésiliennes. Vous savez, celles où la police descend actuellement faire un grand nettoyage pour préparer les JOs ou je ne sais quoi. Le film suit le parcours de trois enfants qui ont habité dans ces lieux des années 60 aux années 80.Et comment dire... Le film regorge de moments pas glop. D'ailleurs, on sent le film glisser petit à petit dans une ambiance plus morose. Au début, les couleurs sont chatoyantes. A la fin, elles sont froides. On suit trois gamins. L'un s'en sortira, les autres non. Et pendant même leur évolution, on voit la relève qui se pointe pour former un autre gang. Sauf que cette relève, elle a... 7 ans. Des gamins de 7 ans qui trouvent ça fun d'aller tuer des gens. Des gamins de 7 ans qu'on a envie de baffer et deux minutes plus tard, on éprouve de la tristesse pour eux, car le film nous rappelle brutalement que ce sont des gamins de 7 ans qui évoluent dans un milieu où la mort peut frapper de n'importe où. De même, l'évolution des trois 'héros' est particulièrement intéressante. Entre celui qui s'en sort, celui qui essaie de s'en sortir et celui qui se conforme parfaitement aux codes de ce monde qui se dessine devant lui. Le film n'est pas forcément facile à suivre car la réalisation est particulière et on ne reconnaît pas forcément facilement les persos au fur et à mesure qu'ils vieillissent. Mais il n'empêche pas moins que son histoire reste accessible. En somme, la Cité des Dieux, c'est un film qui montre une réalité du monde de façon cru. C'est ni joyeux, ni triste, ça prend juste les tripes.

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22 novembre 2010 1 22 /11 /novembre /2010 22:30

Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais Arte fait son premier festival de cinéma.

 

On peut voter et il y a des chats avec les réalisateurs après la diffusion des films.

 

Les films qui sont sélectionnés sont des films auxquels Arte a participé à la réalisation via des financements ou autres. On peut trouver ça un peu centré sur soi-même, mais dans un autre côté, Arte ne boxe pas trop dans les mêmes catégories que les autres chaînes et autres festivals. Et c'est aussi un moyen simple de montrer ce que fait cette toujours petite chaîne avec nos impôts.

 

Concernant les films, il n'y a pas que des longs-métrages, mais aussi une partie consacrée aux courts-métrages. Le tout est présenté par une actrice française qui est sans doute celle qui a le plus enchaîné les rôles les plus "douloureux" (youhou, La Pianiste ).

 

Bref, comme d'hab', je vous conseille de regarder, il y a sûrement de zolis petites perles dans le lot :)

 

Pour plus d'infos, je vous renvoie vers le site. Tout ce que je sais, c'est que le film de demain soir (ou ce soir suivat quand vous lisez cet article)  Valse avec Bachir, je le sens particulièrement bien. Et je ne savais même pas que c'était un film d'animation en plus. Joie quoi.

 

 

Bon allez, une vidéo à la con pour conclure cet article (la flemme d'aller chercher une image :p ) !

 

Et faut que j'aille demander à Arte s'ils vont sortir la deuxième saison des Invincibles moi !

 

EDIT : Oh, ça devrait arriver début Janvier, j'ai hâââââte !

 

Et faut que je me mate Breaking Bad, ça a l'air de déchirer ce truc aussi !

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21 novembre 2010 7 21 /11 /novembre /2010 15:27

 

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Disgrace

 

Hmmmmm...Comment dire... Je ne sais pas par où prendre ce film. Il y a un côté malsain qui traîne un peu tout au long de ce dernier, même s'il y a une sorte de rédemption sur la fin. Il est assez dérangeant. Le film se passe au début du post-apartheid en Afrique du Sud. Un prof d'université (John Malkovitch) est accusé de coucher avec ses élèves et décide de quitter quelques temps son travail. Il part retrouver sa fille dans la campagne qu'il n'avait pas vu depuis un bail. Elle a un employé noir (Morgan Freeman) qui s'installe petit à petit à côté de chez elle. Et... Il se passe des trucs pas cool, genre pas cool du tout.

D'un côté, Malkovitch incarne un type imbu de lui-même qui méprise encore un peu les noirs. Sa fille prend un peu tous les problèmes post-apartheid dans la gueule. Morgan Freeman profite un peu de la situation tout en essayant de limiter les vagues.

Le film démontre la chute du pouvoir des blancs pendant cette époque, où les rapports de force s'inversent drastiquement. Il évite quand même de sombrer dans complaisance sur "Oh, ces pauvres blancs martyrisés par des noirs".  Mais il reste lucide sur les conséquences de cette inversion de rapport de force. Si je trouve un côté malsain au film, c'est qu'il ne semble pas y avoir de justice ni de moral au final. Le monde change et le "héros" ne peut que le constater et faire avec. Le film est rempli de haine sous-latente qui laisse un goût amer dans la bouche. Même si je l'ai apprécié, je comprendrai qu'ils puissent être détesté, tant il possède un côté glauque. Le souci, c'est qu'il garde un côté réaliste et c'est peut-être ce point qui peut déranger le plus le spectateur. Par certains à-côté, il est trop réaliste.

Ce qui est sûr, c'est qu'il peut être facilement comparé à la lente perte de pouvoir que traverse le monde occidental au niveau mondial actuellement.

 

 

 

 

 

 

 

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Dans la chaleur de la nuit

 

Ce film date de 1967 et si je l'ai regardé, c'est que Arte faisait un théma sur Sydney Poitier. J'aurai appris que Sidney Poitié est un personnage assez incontournable dans la cinématographie liée aux acteurs noirs. Nombre d'acteurs noirs le considérent comme celui qui a ouvert les portes d'Hollywood aux acteurs noirs et, de surcroît, il était lié aux mouvements civiques noirs. Bref, c'est un pilier dans l'avancement des mentalités, sans compter que le personnage a alimenté les polémiques et les critiques dans les mouvements de défense de noir, à cause de films comme "Devine qui vient dîner ce soir". Dans une Amérique en plein combat "racial" à cette époque, il a dû faire un numéro d'équilibriste assez délicat, même si visiblement, il a préféré à faire les choses à sa manière et tant pis pour les critiques.

Revenons au film. Dans une petite ville sudiste jusqu'au bout des ongles, pour qui les noirs ne devraient être qu'esclaves, un important homme d'affaire vient de se faire assassiner. Le coupable est tout trouvé, il y a un noir à la gare et il a plein d'argent. Hop, il est coupable. Souci, Virgil Tibbs (Sydney Poitier) est en fait un officier de police, enquêteur aux enquêtes criminelles de Philadelphie. Il est forcément relâché. Il n'a qu'une envie, se casser de cette ville raciste. Sauf que son supérieur souhaite qu'il reste sur place et résolve le meurtre. Ce qui est loin d'être une gageure, il va donc devoir prendre son mal en patience.

Le plot agréable de ce film est la confrontation continuelle entre le shériff raciste et Tibbs qui déteste les racistes forcément. Ils essayent vaguement de bosser ensemble, mais ils ne se font pas trop confiance. Ils ne vont pas jusqu'à se tirer dans les pattes, mais il y a une ambiance électrique entre les deux hommes qui ne cesse de tenir le tension du film. Ils ne peuvent pas se sacquer et n'essayent même pas de le faire. Tout juste se contentent-ils de faire avancer l'enquête ensemble.

En tout cas, c'est vraiment un film bien foutu avec plusieurs surprises au niveau de l'intrigue. Je conseille.

 

 

 

 

 

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Legion, l'armée des anges

 

Bon, allez, un film tout pourri pour finir. :D

Là, ça envoie du pâté, attendez, voilà le synopsys : "Dieu en a marre de l'humanité et décide de la flinguer. Le seul espoir de survie pour cette dernière ? La naissance d'un enfant... Que l'ange Michael va protéger, s'opposant à Dieu"

L'histoire se déroule principalement dans un motel paumé au milieu du désert où l'enfant doit naître. En fait, j'ai plus eu l'impression de regarder un film de mort-vivants qu'autre chose, avec la troupe d'humains aidé d'un ange qui se barricade dans un môtel et flingue du mutant à tour de bras. Mais sinon... Bah, y'a pas grand chose à raconter. C'est rigolo (la scène avec la vieille est vraiment très drôle :D ), bourrin, la morale est pourrie, mais ça bouche bien une soirée avec des bières. C'est suffisament bien fait pour pas qu'on s'ennuie, mais après, c'est franchement dispensable comme film. Enfin, si y'a un intérêt, j'ai découvert Willa Holland qui est plutôt un très joli brin de fille (hmmm... ce plan de début au ras du sol alors qu'elle porte une mini-jupe *bave*. Ouais, le cinéma, c'est censé être de l'art. BEN VOYONS.).

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29 octobre 2010 5 29 /10 /octobre /2010 02:44

 

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John Tuckerdoit mourir

 

Dans le genre : "Petit teen-movie de poche qui casse pas trois pattes à un canard", il est plutôt réussi. John Tucker, le fameux jardinier de "Desperate Housewifes", est plus ou moins le héros de ce teen-movie. Il est THE seducteur du lycée, celui sur lequel toutes les filles se touchent le soir celui avec qui chaque fille rêve de sortir. Plutôt doué dans l'art du mensonge, il sort avec trois filles en même temps sans qu'elles n'en sachent rien. Jusqu'au jour où elles vont l'apprendre et vont préparer leur revanche, revanche qui va avoir le résultat inverse de celui escompté...

L'humour du film est plutôt gentillet et évite de sombrer dans le gras facile et les filles sont jolies.C'est plutôt soft et le rythme reste bon de bout en bout, on n'a pas le temps de s'ennuyer. Le film évite aussi de sombrer trop facilement dans le graveleux à part un détail ou deux, ce qui est plutôt appréciable. Ca change des teen-movies plus basiques qui ne savent pas sortir de la tranche sexe/alcool/niaiserie. En somme, on est plus proche de "La revanche d'une blonde" que d'un "American Pie". Sans doute parce que des filles sont au centre de l'intrigue, ce qui introduit un peu de différence avec le teen movie où c'est toujours une histoire de héros qui veut coucher ou autre. C'est bien connu, les filles ne pensent pas qu'au sexe ( LOL ).

 

Bref, un bon petit film sandwich, pas trop lourd et qui évite le graveleux. Les héroïnes sont un peu concons sur les bords, mais c'est ce qui fait leur charme et globalement, ça reste soft dans tous les sens du terme. C'est agréable des trucs pas graveleux de temps en temps. Pourtant, il y avait largement possibilité d'en faire :)

 

 

 

 

Un film qu'il est tellement pourri qu'il n'a même pas d'affiche sur Alloncine

 

Mega Piranha

 

Là, c'est du lourd de chez lourd de chez lourd. Je crois que je viens de voir le pire nanar de ma vie. D'ailleurs, je ne sais point si c'est un navet tant l'horreur cinématographique est poussée à son paroxysme. Les effets spéciaux sont laids à mourir, d'une réalisation absolument infecte et.. Le réalisateur en sur-abuse. Au point de piquer les yeux ! Même un banal hélico est fait en image de synthèse super laide. A faire regretter le temps des stock-shots.... Sans compter que ça en dit long sur le budget qu'a dû recevoir le film...Et oh, je ne vous parle pas des décors. On a l'impression que les accessoiristes n'ont meme pas eu une once de budget pour donner une quelconque crédibilité aux lieux squattés. D'ailleurs, il est probable que les lieux de tournage ne sont juste qu'un bunker de la guerre 40 réaménagé avec deux coups de peinture, l'avantage étant que l'équipe peut facilement squatter ce genre de lieu.

Et encore, je ne vous ai pas parlé du jeu d'acteurs. Ce dernier est tout simplement GRANDIOSE ! Les personnages sont tellement confondants de réalisme qu'il seraient capables de faire passer du plomb pour de l'or. Sisi, je vous jure. Ils ont tellement l'air d'être à côté de leurs pompes quand ils jouent, qu'on pourrait très bien les prendre pour des échappés de l'asile.Sans compter que même la fin est incohérente - bon, en même temps, tout le film est incohérent donc bon....

En fait, ce film est forcément une gigantesque face, je ne vois que ça. Je n'ai jamais vu un tel truc. Là, on on touche au très-haut level du nanar. A réserver aux plus gros fans du genre.

 

 

 

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Sumô

 

Pour compenser un peu ces films de seconde zone, je vais vous parler d'un film israëlien nommé Sumô. Israël ? Sumô ?

Ca apparait comme un mélange étrange, effectivement. L'histoire tourne d'un groupe de gros qui vont faire du sumô plutôt que de continuer des régimes qui ne fonctionnent jamais et de subir l'ostracisme de leurs compatriotes. Les sumôs étant considérés comme des quasi-divinités au Japon, ça leur donne envie de valoriser leur graisse et de combattre contre toutes les remarques désagréables qu'ils ont pu subir. Rajoutez par-dessus une petite histoire d'amour et... Vous n'avez qu'une partie du film qui est loin d'en être son coeur. Et non, son coeur n'est pas l'humour du film assez plaisant.

Mais c'est plutôt la prison de mensonge et de peur qui peut être lié au fait que l'on soit gros, et surtout, la peur de décevoir l'autre à cause du fait que l'on soit gros. C'est assez frustrant de voir le personnage principal mentir encore et encore à celle qui l'aime car il n'arrive pas à assumer ce qu'il fait. Et les autres personnages principaux aussi, doivent se débattre avec leur propres problèmes : l'un est trompé par sa femme, l'autre n'assume pas son homosexualité, ...

On se retrouve donc avec une galerie de personnages touchants sans pour autant que ça ne sombre dans le pathos lourd et dégoulinant. Le côté simple du film évite cet écueil et reste très accessible. Il y a une petite naïveté agréable même si on aurait parfois envie de mettre deux baffes au héros à cause de sa mythomanie.

Le film, en tout cas, réussit pleinement son pari d'être distrayant. Plutôt calme et tranquille, on se laisse aisément porter par cette histoire de Sumôs israëliens.

Mention spéciale à la scène de la mort du père qui est un grand moment de cinéma :)

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20 août 2010 5 20 /08 /août /2010 18:54

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GI Joe :

Ah Gi Joe, que de souvenirs d'enfance... Ces guerriers qui se foutaient mutuellement sur la gueule où Stallone, Schwarzenegger et autres Chuck Norris (avec éventuellement James Bond en option) auraient parfaitement eu leur place pour aller latter du méchant terroriste.

Pis GI Joe, c'est un film pas du tout manichéen. Mais pas du tout. La preuve : le méchant ninja s'habille en blanc et le gentil ninja en noir. Si ça, c'est pas un pied de nez aux amalgames habituels, je ne sais pas ce que c'est ! Bon, par contre, le gentil ninja est un blanc, tandis que le méchant ninja est un asiat'. Faut quand même pas déconner, manquerait plus que l'équipe GI Joe ne soit constitué que de jaunes, de noirs ou autres couleurs qui ne seraient pas très WASP. Enfin, c'était le cas quand on était jeune. Maintenant, les GI Joe sont multiracials (avec un ninja blanc, quand même), histoire de quotas de minorités ethniques à respecter (quotas qui ont surtout débouché sur le sidekick noir qui fait de bonnes blagues... A se demander si les quotas ont vraiment servi à quelque chose finalement...).

GI Joe donc. Comme on puit s'en douter, c'est un film à gros zizi  bras (mais aussi un peu de zizi) dont le degré intellectuel ne dépasse pas le zéro. Oh, il fait quelques efforts quand même, en nous mettant des rebondissements plus ou moins intelligents par-ci et par-là. Mais ça dure pas longtemps en général.

GI Joe, c'est quand même un concours de grand n'importe quoi. Entre la base sous-marine, la course-poursuite avec des exosquelettes qui a dû être faites sous acide, tant c'est du grand n'importe quoi, les fans des films à explosion en auront pour leur pognon.

Mais, le truc bien de GI Joe, c'est qu'il a un tel côté nanar que vous pourrez parfaitement jouer au jeu : "J'essaie de deviner quelle est la réplique suivante du film".

A faire avec des potes avec le jeu "Je relève les incohérences qui traînent" et vous allez regarder tout le film avec le sourire aux lèvres de bout en bout. Surtout sur un graaaaaaaand écran.

 

Sinon, histoire de me la jouer, moi, j'ai le hovercraft GI Joe (cachalot de son petit nom ^^ ) qui a trop la classe,  c'est tout ce qui compte (ça en combo avec le camion d'Optimus Prime, je vais finir par me dire que mes parents ont bon goût pour les cadeaux)  !

 

De par ses qualités qui lui confèrent un statut de nanar à gros budget, GI Joe hérite donc du titre mérité : Film de l'été à mater avec des potes ! \o/

Notons quand même, en point positif, que ça fait plaisir de voir "l'origine" de nos valeureux guerriers (même si une bonne dose de politiquement correct est passé entre-temps, genre les GI Joe, c'est INTERNATIONAL comme force en fait. Mais avec que des américains dedans :D )

 

 

 

http://images.allocine.fr/r_160_214/b_1_cfd7e1/medias/nmedia/18/71/33/43/19131706.jpgC'est là qu'on se rend compte que plus le film est merdique, plus il est difficile d'en trouver une

grande affiche sur le net...

 



Le Ninja Blanc :

Ce film a un piège. Il s'appelle "Le Ninja Blanc". L'affiche montre un ninja avec un costume blanc. Mais en fait... Le Ninja Blanc ne portera jamais ce costume. Le Ninja Blanc a un costume noir. C'est ballot.

Je pourrais m'étendre encore et encore sur ce film de série Z, mais nanarland lui a déjà consacré une belle et grande et zolie chronique, je vous laisse en pofiter. Ca se passe par là.

Ma capacité à mater ce genre de film me fait peur quand même. Remarque, c'est devenu un running-gag au taf' maintenant. Ceci dit, si vous souhaitez découvrir cette magnifique oeuvre, surveiller NT11, c'est sur cette chaîne que je l'ai vu.

 

 

 

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Comme je l'ai dit précédemment....   

 

 

 

Fire & Ice, Les Chroniques du Dragon  :

Oh putain, l'erreur du siècle.

Au début, je me suis dit : "Oh des Dragons ! Trop cool.!"

Pis en voyant que le nom du réalisateur était Pitof, j'ai comme eu un instant de doute. Genre de gros doute quoi. Car bon, ce type, c'est quand même lui qui a fait Vidocq, le deuxième film le plus merdique que j'ai pu voir au cinéma. Le premier étant Blanche.

Mais bon, grand prince, grand adepte des dragons, je me suis laissé tenter. Après tout, il faut des fois laisser une chance.

Ah ouais. Mais non, en fait.

Pas du tout une bonne idée d'avoir de la compassion en fait.

Tout n'est pas à jeter dans ce film quand même. Comparé à bien d'autres films réservés à la TV, les effets spéciaux sont plus que corrects (en fait, c'est comme ça que Vidocq avait été vendu au grand public d'ailleurs... Grâce à son Paris du XVIIIe siècle qui était magnifique. Je me souviens que le JT de France 2 avait même fait un reportage sur ce film. En fait, France 2, ils sont les champions pour repérer les films français les plus merdiques de l'année. Genre, ils avaient fait tout un foin sur "Arsène Lupin" aussi. Et le seul souvenir que j'ai gardé de ce film, c'était qu'il était chiant et long... Le JT de France 2, l'art d'essayer de faire vendre des films affreusement merdiques ), même si j'ai eu la sensation qu'il y avait un léger abus de filtres pour lisser/gommer les erreurs qui auraient pu apparaître. Sinon les deux dragons sont plutôt bien faits. Le souci, c'est comme ils les ont entourés de plein de fumée/vapeur, ben en fait, la baston entre les deux dragons n'est pas très agréable à suivre. Même si la fumée/vapeur offre de nombreuses fois des effets sympathiques, elle a le défaut de nuire à la lisibilité des scènes. Au moins, elle ne m'a pas donné l'impression d'être un cache-misère comme ça aurait pu être le cas pour d'autres films.

Par contre... Que Pitof reste à se cantonner aux effets spéciaux. Car entre un rythme mou, des longs travellings coupés à la hache, des effets de caméra qui datent de "Donjons & Dragons", ce film provoque un ennui sans fin. Du coup, même si les dragons sont à l'écran, on n'est pas vraiment passionné par ce qu'il se passe. La réalisation est catastrophique. Oh, et je ne parle même pas du fait que le château et la ville semblent immenses vu de l'extérieur et totalement minables vu de l'intérieur.

Un conseil : à fuir.

Et si vous voulez un autre avis, ben, y'a cet article-là sinon.

En tout cas, c'est clair, je boycotte définitivement Pitof à partir d'aujourd'hui.

Et la prochaine fois que je sens que ça va être pourri, JE NE ME LAISSE PAS TENTER !!!

 

 

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Danny the Dog :

Ce film a au moins un mérite : confirmer que Jet Li sait parfaitement avoir une tête de débile. Il avait déjà bien fait la chose dans Tai-Chi Master (un excellent film de kung-fu en passant, je conseille vraiment son visionnage pour les amateurs, Jet Li n'y joue pas le débile trop longtemps) ; là, il mérite un Nanard d'or tant son jeu est mauvais. Il n'a jamais été génial comme acteur certes, mais là...

En fait, le souci vient de l'histoire et que j'ai été eu par la bande-annonce pour une fois. Dans ma tête, Danny the Dog, ça devait déboucher sur un Jet-Li enragé qui devait tabasser tout le monde sans réflexion, un truc dont l'histoire devait se résumer à une bête histoire de vengeance où Jet Li fracasse tout. Comme tout film de kung-fu qui se respecte et qui ne cherche pas à péter plus haut que son cul.

Mais en fait, c'est pas du tout ça. Au lieu d'avoir le Jet Li de L'Arme Fatale 4 (je ne le linke pas celui-là, tout le monde le connaît ^o^), on se retrouve avec le Jet Li de The One (tiens, je viens de tilter que c'est Jason Tatanne qui joue dedans), avec moins de combats et moins d'action. Du coup, c'est vachement moins passionant.

Ca se regarde hein. Pis bon, ça fait toujours plaisir de revoir le détective de Roger Rabbit, aka Bob Hoskins, ce héros qui a eu le courage d'interpréter Mario au cinéma. Pis y'a aussi Morgan Freeman, c'est pas rien non plus.

Mais bon, ça ne suffit pas à en faire un bon film. C'est juste un truc commun qui se mate à l'occasion. Mais il est clairement fanchement dispensable.

 

 

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Gwendoline :

Attention, voici du lourd de chez lourd. Quand je suis tombé dessus un dimanche soir, je ne me suis pas posé la question. Vu l'heure, c'était le film érotique de M6 du dimanche soir (enfin maintenant, c'est plus M6, mais TMC, NT11, des fois Virgin 17, voir W9, et c'est là qu'on réalise qu'en fait, il y a beaucoup de films érotiques). Sauf que... C'est pas un film érotique comme les autres en fait. Car quand je suis arrivé dessus, un mec se faisait couper une main ou se vidait de son sang, ch'sais plus. Et 5 minutes plus tard, je découvre la gueule du héros et là, mes yeux se sont agrandis comme des soucoupes. Imaginez un croisement entre Indiana Jones et Allan Quatermain, sauf que le type en question est prétentieux au-delà de Sarkozy, sait tout faire, connaît tout et est un dieu vivant de la vanité et de l'orgueil. Le type, on a juste envie de le flinguer en fait.

Le film étant longuet et un peu chiant, je ne l'ai pas suivi plus que ça. Mais des fois, j'y repassais pendant quelques séances de zapping. Et j'hallucinais. Pas parce que le film nous filait une belle scène érotique, mais parce que ça semblait sans queue ni tête. A chaque fois que le film poppait devant mes yeux, les personnages avaient changé de lieu. Ce qui peut se comprendre. Sauf qu'alors, à la base, ils sont dans un cadre classique en Asie, style années 60/70, ils se retrouvent brusquement chez... Des amazones.

 

...

 

Oui, oui, la cohérence du film, c'est de ne pas avoir de cohérence. Ce film... Ce film est... C'est juste indescriptible \o/

Par défaut, je ne vous conseillerai pas le visionnage de ce film (pour tenir le coup, je l'ai regardé par paquet de 5 minutes avec des trous de 10/15 minutes afin de protéger ma santé mentale, donc en gros, j'ai à peine vu un quart du film quoi - et encore, en étant généreux pour le coup). Mais d'un autre côté... Nanarland en a fait une chronique assez instructive. Donc bon, c'est à vous de voir ! :)

Moi, je ne conseille pas, c'est clair ^^"

 

 

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Le Choc des Titans :

Des retours que j'avais pu croiser, le Choc des Titans semblait avoir déçu pas mal de monde. Mais bon, il est tombé sous mes yeux dans la VOD (5 euros et même pas en HD, ça commence à friser l'arnaque à ce prix-là) et encore une fois, j'ai été faible. Ca me semblait si peu intelligent et mon cerveau hurlait son envie de courir librement sur la maquette... Dur de résister. Un peu comme pour 2012 en somme, où les arguments du type "2012, c'est chiant, y'a trop d'explosion" m'ont, au contraire, poussé à le mater.

Et donc, j'ai regardé ce choc. Et vous savez quoi ? Ben, je n'ai pas été déçu.

C'est bête. L'histoire est simple à suivre. Y'a du gros monstre.

A se demander de quoi se plaignent les gens.

Ah, l'histoire de Persée s'est fait violenter dans tous les sens du terme ?

Ben c'est normal, le cinéma hollywoodien ne fait que violenter (pardon, adapter) les oeuvres originales afin qu'elles soient compréhensibles pour le commun des mortels selon eux (et surtout qu'elles soient bankables). Bon OK, le djinn échappé de Star Wars n'a vraiment rien à faire là. Mais genre rien quoi. Surtout qu'il sert vraiment à rien (comme la majorité des types qui accompagnent le héros d'ailleurs).

Dans le même registre, j'ai bien aimé que les gens se plaignent qu'on ne voit pas plus le kraken. Genre, c'était pas le truc super-évident de base. Même dans le film de 1981, le kraken fait une toute petite apparition finalement.

En somme, les critiques qui sont présentés devant ce film, c'est un peu les critiques que l'on présente à Hollywood depuis des années, sauf que pour une fois, ça se paye sur les critiques de manière globale, ce qui est assez rare. Il faut dire qu'il y a d'autres fronts d'opposition. Genre pour la 3D, y'a quelques petites scènes gratuites, spéciales 3D (genre le kraken qui essaye d'attraper le héros avec sa mâchoire), mais qui ne valorisent pas vraiment le film. Elles sont franchement dispensables.

Sinon, j'ai trouvé la bataille contre les scorpions un peu fouillis. Elle manque un peu de fluidité vu qu'on ne pige pas forcément sur le coup qu'il n'y a pas un, mais trois scorpions. Ce qui change beaucoup la compréhension de la scène ^^"

Que dire d'autre ?

Je pourrais critiquer le manque de charisme latent du héros en plus de son jeu d'acteur monolithique, mais... Il suffit d'aller voir le film en sachant que c'est un truc hollywoodien, et ça passe tout seul :D

Il ne mérite pas l'acharnement négatif qu'il a reçu en tout cas. C'est un film sans cerveau qui s'assume pleinement où le réalisateur a fait ce qui plaisait, pour le pire et pour le meilleur. En tout cas, j'ai trouvé ce film dans la suite des vieux péplums d'autrefois avec ses monstres en pâte à modeler. Sauf que la pâte à modeler a été remplacée par la synthèse. Et vous savez quoi ? Dans 20/40 ans, on trouvera ça aussi mal fait que de la pâte à modeler :D

Pour conclure, je veux faire une mention spéciale au pégase du film. Car je devine son origine. Ca manquait de noirs dans le film donc les associations de minorité ethnique allaient gueuler. Y'avait bien le Djinn qui est plus ou moins noir mais il fait plus extra-terrestre que noir de souche. Le réalisateur a eu alors un trait de génie pour résoudre son problème...

Il a fait un Pégase NOIR. Chef d'un troupeau de pégases BLANCS. Et là, il a owned tout le monde.

Et maintenant, vous savez pourquoi Pégase est devenu noir ^___^

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9 août 2010 1 09 /08 /août /2010 20:04

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Scooby-doo ! Le Mystère Commence :

En louant le film, je m'attendais à voir l'une des plus grandes bonnasses de tous les temps en action (avec décolleté plongeant ET mini-jupe) , mais en fait... Bah non. Pour la simple et bonne raison que je me suis gouré de film. C'est pas celui que je pensais, c'est un autre Scooby-doo, sans Buffy.. Inutile de dire qu'après avoir lancé la location, j'ai été un peu dégoûté pour le coup. Pas de SMG....  :[

Monde injuste.

Depuis ce jour, je fais gaffe aux affiches et j'évite de louer mes films bourrés. C'est fou comment comment on peut  se trouver à gérer une immense déception à cause d'un film parce que le plaisir attendu n'est pas là (comprendre : la déception de ne pas voir la p'tite Sarah, oui, je suis un sale fanboy dans ce domaine).

Toussa, c'est la faute des affiches des films, elles se ressemblent trop (*tousse* *tousse*).

Mais cela n'a point empêché votre vaillant serviteur de se jeter dans le visionnage de ce film, car, comme le signifie le proverbe : "quand le vin est tiré, il faut le boire même si y'a des trucs pas ragoûtants dedans".

Et donc ?

Et bien... On a là un gentil petit téléfilm qui retrace les débuts du "scooby-gang", gang qui est constitué de manière logique de :

- une bonnasse blonde

- une bonnasse intello à lunette

- un bô gosse sportif

- et bien sûr, les deux qui donnent le sel de cette série, un boulet accompagné d'un chien boulet ( qui n'est pas le sien à la base).

Mais en fait...  Contrairement à la description précédente, j'ai trouvé le traitement des personnages plutôt réussi. Le réalisateur a su utiliser quelques clichés de base pour bien recoller à mes souvenirs du dessin animé. De même, il a évité de trop pousser les clichés qu'il a pu utiliser. Par exemple, le côté bôgosse d'un des mecs, la "blondeur" de Daphné, la solitude de l'intello à lunettes... Le réalisatrice a le bon goût de ne pas s'étendre dessus et de modérer proprement les choses. On n'a pas l'impression que le gang se met en place parce qu'il DOIT se mettre en place. Le réalisateur prend son temps de réellement former et expliquer les liens entre les personnages. De ce côté-là, on débouche sur une petite réussite et on peut dire que le film a bien rempli son objectif.

Pour le reste, ben, c'est banal. Effets spéciaux banals, histoire banale même si bien faite (on retrouve agréablement le côté enquête de l'anime), humour banal, ...

Un petit téléfilm sympa mais dispensable à moins d'être accroc à Scooby-doo.

 

Mais y'avait pas Sarah Michelle Gellar. Je suis triste. Va falloir que je loue "Veronika décide de mourir" mais j'ai peur que ce soit tout pourri. Et pis, c'est un film récent alors je vais voir qu'elle a affreusement vieilli depuis Buffy (voire même avant) !

...

Enfin, je dis ça, c'est pas comme si je n'avais pas vu Southland Tales.

 

 

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Percy, le Voleur de Foudre :

Allez boum, on continue avec les films pour gn'enfants. Par contre, on revient dans quelque chose de plus classique et finalement, moins pêchu que Scooby-doo. Je n'irai pas jusqu'à dire qu'il est chiant, mais oui, il est parfaitement calibré et donc, totalement sans surprise. Enfin si, y'en a une petite sur l'identité du voleur. Une toute petite.

Sinon c'est "Oh-c'est-affreux,-je-suis-un-gentil-garçon-sans-papa-attaqué-par-des-monstres-alors-que-je-suis-tout-doux. Et-hop,-je-suis-trop-fort,-je-vais-éviter-la-guerre-des-dieux-en-retrouvant-le-voleur!!!"

Et voilà.
Rajoutez une équipe de héros composée de la fille d'Athena pour que l'ado-héros ait une fille à se taper, un sidekick noir qui fait de bonnes blagues, qui est un satyre et dont le boulot est de protéger le blanc héros, et vous aurez une équipe parée pour la baston. Rajoutez un soupçon de drama entre le père et le fils, quelques créatures grecques, confiez le tout à Chris Columbus et vous avez un film pour enfants sympatoche. Mais bon. Ca serait bon qu'il se réveille le Chris Columbus, car même s'il fait des films auxquels on n'a pas grand chose à reprocher niveau technique, narration et tout ça, on commence un poil à s'ennuyer quand même. Surtout quand on remarque que le sieur a fait le scénario des Gremlins et qu'il a réalisé "Maman j'ai raté l'avion", on se dit qu'il doit être capable de varier un peu ses histoires et pas se cantonner au mythe du héros qu'il suit un peu trop facilement à mon goût sans y mettre un soupçon d'imaginativité.

Un film qui se regarde mais qui reste assez random. Ce qui est dommage car son objectif à demi-avoué était d'instaurer une nouvelle licence via le personnage de Percy. Avec un début en demi-teinte comme celui-là, ça me semble mal parti....

 

 

 

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Ling et Tao, la légende des amoureux papillons :

Et maintenant, un peu d'animation pour changer. Enfin... J'aimerai bien vous en parler en long en large et en travers, mais j'ai vu ce film dans un état tellement déplorable que je m'en souviens bien peu. Et pareil pour le film suivant. Faudrait que je les revoie mais...

La critique va aller vite au moins : Ca se mate. Et en plus, ça parle de l'égalité entre les hommes et les femmes devant l'éducation. Le couple est meugnon. FIN.

Mais n'attendez pas un truc magnifique. Ca alterne entre les longueurs et les gags des bestioles. Ca se regarde sans trop de passion. Ou alors, c'est parce que je ne me souviens absolument pas de la fin...

 

 

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La cité interdite :

Comme je le disais, je ne me souviens plus de grand-chose de ce film. Quand je vois des extraits, ça me revient un peu. Dans mon souvenir, il y a trois éléments fondamentaux :

- la BA est une arnaque, y'a qu'une seule grosse baston dans ce film

- Jaune

- Rouge

Donc oui, j'espère que vous aimez la couleur jaune et la couleur rouge, car vous allez en bouffer à tout va. Car dans la cité Interdite, tout est doré. Donc tout est jaune. Et forcément pour accompagner l'or, on met du rouge partout (y'a sûrement une moultitude de raison qui justifient la présence du rouge dans notre cas, mais je ne les connais pas, donc faisons court).

En fait, ce film n'est qu'un long hommage au jaune, enfin à l'opulence de la cité interdite. Avec plein de complots dans le huis-clos de la famille royale enfermée au Palais. Les gens se tirent la bourre pour des questions de pouvoir et il m'a semblé que c'était assez bordélique au final (enfin, j'étais déchiré)...

Le conseil va être classique : si vous aimez "Hero", "Le Secret des poignard volants" ou autres, vous pouvez y aller. Sinon... Même si la photographie est belle, les décors somptueux, je ne sais pas s'il vaut vraiment le coup. L'ambiance est quand même assez particulière...

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5 août 2010 4 05 /08 /août /2010 19:48

Yep, encore un article à la va-vite, mais là, pas de temps de traîner, j'ai envie de me retaper les LOGH, Beck, et de me faire enfin Macross 7 et Macross Frontier. Vais être occupé comme qui dirait... Faut juste que je trouve un moment pour faire le ménage chez ouam :p

 

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Ong Bak 2, la naissance du dragon : Franchement ? A zapper, sauf si on est fan de Tony Jaa. Autant le premier Ong Bak avait une ch'tite histoire sympatoche pour meubler le truc, autant là... Pas d'histoire, et je ne m'y connais pas suffisament en arts martiaux pour apprécier tous les mouvements de Tony Jaa. Par contre, les amateurs devraient apprécier, il aligne pas mal de positions et de coups différents. Mais je suis un peu déçu, le premier Ong Bak avait su ajouter quelques détails à la con pour alimenter le film, là, c'est creux... Dommage.

 

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Amorosa Soldedad : Dans la série "Je suis un film qui n'est pas ce qui avait été attendu par Corti", celui-là est en bonne place. Je pensais que ce long-métrage argentin allait être taquin, un peu satirique dans son props. En effet, c'est l'histoire d'une fille qui, suite à une déception amoureuse, décide de vivre recluse chez elle. Le problème ? Elle vit recluse à la manière espagnole, ce qui fait qu'elle est dehors les 3/4 du temps en fait. Ce qui est normal, vu que l'idée est que les gens l'empêchent de vivre recluse. Mais... Je n'ai trouvé beaucoup de vie au final dans tout ça. On se retrouve avec un film tranche de vie poussif. Gentillet, certes, mais un peu poussif. Je n'ai pas envie de dire que c'est mauvais, mais ça manque un peu d'ambition. Il donne un peu trop l'impression de "petit" film. Sans compter que le côté passéiste de l'actrice principal m'a un peu gavé. A voir pour les curieux, mais je n'ai pas franchement accroché.

 

 

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Mariage à l'Islandaise : J'ADORE les films du nord. Qu'ils soient glauques comme "Festen", débiles comme "Dead Snow" ou spécials comme ce film. Encore une tranche de vie ce coup-ci, et celle-ci se passe dans un mariage. En mariage en petit comité où, évidemment, les familles s'aiment moyennement, sans compter qu'en plus, il y a quelques relations et secrets tout à fait savoureux. Ca aurait pu bien se passer quand même. Sauf que quand on ne trouve pas l'église où on veut se marier.... Tout devient bien plus compliqué. Car bon, les églises dans la campagne islandaise, c'est... Autant regarder la bande-annonce, vous comprendez mieux :)

Je plussoie, c'est une petite comédie à l'humour noir bien plaisante !

 

 

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Moon : Attention, film particulier. L'histoire se déroule sur la lune. Le héros a trois an à tirer avant de pouvoir rentrer sur terre. Il n'est pas en prison, il est juste en charge de la station lunaire qui est plus ou moins automatique. En gros, c'est un employé chargé de la maintenance. En effet, de grosses moissonneuses batteuses sont chargées d'extraire l'helium-3 de la lune (ah, ce fameux helium 3 qui nous sauvera tous...) et ce dernier est envoyé par la suite sur la Terre, qui en a bien besoin, vu que l'helium 3 est une excellente source d'énergie. Mais pas de chance, alors qu'il allait finir ses trois ans, un accident se produit avec une moissonneuse batteuse. Et après... Et bien, les choses se compliquent légèrement.

Attention, ici, vous n'aurez pas d'ETs, de monstres ou autres. C'est un huis-clos spatial qui a un point de départ assez original. Tellement original que je ne vais même pas vous en parler pour ne pas gâcher la surprise, mais c'est assez rare que je trouve la base d'un film aussi original. Pourtant, j'avais peine à être convaincu au début. Mais... Les paysages lunaires sont magnifiques et le film réussit à instiller de jolis moments de malaise (mais pas de peur, attention) qui accroche le téléspectateur. En compagnon de route du héros, rajoutez un robot basique qui est un simple robot qui fait son boulot et pas un truc qui serait à la pointe de la technologie, vous obtenez le meilleur polar lunaire présent sur le marché.

Je conseille à tout le monde, ce film est vraiment captivant, avec son lot de tension qui scotche au siège. Par contre, ça reste un film assez calme quand même au niveau du rythme, mais la curiosité de comprendre ce qu'il se passe, l'emporte sur tout sentiment d'ennui. Thriller spatial, polar lunaire, classez-le comme vous le voulez, c'est une bonne petite réussite ^^

 

 

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12 and holding : Youhou ! Un film qu'il est bien mais qu'il est particulier ! \o/

On suit la vie de 4 enfants de 12 ans (deux jumeaux, un gros, un fille) qui ne vont être plus que 3, l'un des jumeaux allant mourir au cours d'une "dispute" entre mômes qui a mal tourné. La chose marrante, c'est qu'il n'y a qu'un acteur pour faire les deux jumeaux. Pour contourner le truc, un des jumeaux porte un masque parce qu'il a une sale tâche sur le gueule. Un fois son jumeau décédé, il va enlever son casque, logique et plus de problèmes avec l'acteur qui incarne deux persos ^^

Ca fait un peu cache-misère sur le coup, mais ça passe plutôt bien.

L'histoire, elle, se concentre sur la manière dont cette mort va affecter leur vie. Sans compter, que même si la mort est dûe à un accident plus qu'à une réelle envie de tuer, la mort est tombée à cause d'une personne en particulier. Ce qui va obliger le jumeau qui est vivant à gérer son ressentiment vis-à-vis du meurtrier de son frère. Meurtrier qui lui-même souffre de son crime vu qu'il a lui aussi 12/14 ans et donner la mort à 12/14 ans à un gamin de 12 ans.... Bref, on se doute que ce n'est pas gai.

Mais en fait, ce n'est pas si sombre que ça. La réalisateur a su aussi manier l'humour et toucher à plusieurs registres à la fois dans un ensemble qui accrohe le téléspectateur. Une pointe d'humour, une point de colère, une pointe de bataille, une pointe d'amour, une point de tristesse... On passe de l'un à l'autre des sentiments en suivant l'évolution de ses enfants qui sont frappés de cette mort inattendue.

Un thème pas vraiment facile à aborder, mais la réalisateur a su tirer son épingle du jeu, montrant aussi le côté lumineux que sombre d'un enfant de 12 ans.

La fin est... Je vous laisse voir :)

En tout cas, je survalide ^^

Et dire qu'alors que je découvrais ce film, on me saoûlait avec Avatar. Forcément, ça a dû aider à détester ce dernier, 12 and Holding étant un peu son antithèse par essence, forme et fond.

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28 juillet 2010 3 28 /07 /juillet /2010 20:54

Bon allez, on va causer un peu cinéma là. Car bon, les animes, c'est bien, mais y'a d'autres trucs à voir de temps en temps ^^

Comme des Dragons. Faut savoir varier ses plaisirs ! \o/

 

 

 

 

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Sherlock Holmes : J'étais assez dubitatif sur ce film à la base, et puisqu'un collègue en avait parlé en bien, je me suis laissé tenter. Et bien, je n'ai pas regretté.
Robert Downey Jr incarne un Holmes assez charismatique, sortant du personnage "que" hautain et classe pour lui donner un grain de folie appréciable. Jude Law en Watson fait un peu pâlot à côté de Robert, mais il reste honorable. Le rythme est bien tenu pendant le film, enchaînant action et enquête sans trop tomber dans l'un ou l'autre,alternant sagement la chose. De même, j'ai bien aimé la manière dont Holmes "prévoie" ses combats.

Mon seul regret sur ce film est le trip sur la machine à la fin. En cinq secondes, ils décident de dévisser un machin sans qu'on comprenne vraiment pourquoi, pas plus que l'on ne sait vraiment pourquoi le grand méchant embarque cette pièce.


Bof, pas trop grave, j'ai passé un bon moment. Surtout pour le côté taquin du film envers le côté vieux couple que forment Holmes et Watson ^^

 
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Le Maître d'Arme : Ce film est inspiré d'une histoire réelle et a été romancé, of course. Jet Li joue le rôle d'un dénommé Huo Yuan Jia qui a fondé une école d'arts martiaux et est considéré comme un héros national en Chine dixit Wikipedia. On retrace ainsi l'enfance de cette personne, qui n'est pas des plus glamours. Asthmatique, son père lui interdit de s'entraîner aux arts martiaux. Le fiston apprendra en douce. Avec le temps, il deviendra l'un des meilleurs combattants du secteur. Souci : il va payer cher son arrogance et sa vanité...

L'histoire de Huo Yuan Jia avait déjà inspiré Bruce Lee avec sa fureurde vaincre, et donc, par ricochet, Fist of Legend de Jet Li. Du coup, on retrouve un peu un même schéma narratif. Le héros va monter en puissance, chuter, se ressourcer dans la nature où une fille migonne va s'occuper de son cas pour lui rendre la niaque, puis revenir tabasser les "méchants". Il n'y a pas de mystère, qui dit Jet Li, dis combat à foison et on en a pour notre argent. Un point que j'ai apprécié, c'est le traitement des adversaires de Jet Li dans la dernière partie de l'histoire. On évite le méchant méchant qui est méchant juste pour être méchant.

Concernant les créateurs, ils m'avaient déçu avec le "Secret des poignards volants" mais j'avais bien aimé "Hero". Ils gardent un petit avantage. Je ne sais pas qui ils sont, donc je n'ai pas trop de points de comparaison.

Quoiqu'il en soit, les amateurs des films d'art martiaux peuvent y aller, ils ne seront pas déçus de la chose.

 



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La Horde : Tiens, un petit film de zombie ce coup-ci. Français de surcroît. Le huis-clos est bien trouvé et bien formé en passant. Ca me rappelle des débuts de nanar. En somme, 4 flics veulent aller se venger de bandits qui ont tué un collègue, les zombies débarquent et ils bossent ensemble pour sauver leur peau. Le huis-clos se fait dans une tour d'immeuble. Ca casse pas trois pattes à un canard, mais j'ai passé un bon moment, c'est actif. Bon, il faut dire qu'on a affaire à des zombies qui courent, zombies popularisés par "28 jours plus tard", ce qui fait que forcément, c'est un film plutôt nerveux. D'ailleurs, c'est pas mal bourrin quand même. Mais pas trop. J'ai beaucoup aimé le coup du vieux combattant qui avait fait Bien Bien Phu. Ca nous change des anciens du VietNam et c'est un petit détail qui fait bien, je trouve. En tout cas, le film est fait avec plaisir, et ça se sent. Le réalisateur doit aimer les films de zombie. Et la fin claque bien comme il faut, parfait pour un film de zombie. A déguster à l'occasion pour les amateurs, ça ne fait pas de mal.

 

 

 

 

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Invasion Los Angeles : Ben ouais, faut bien zieuter des classiques de temps en temps pour parfaire sa culture. J'ai bien aimé ce film. Je peux me gourer complètement, mais j'y vois une critique acerbe et bien mené de la société capitaliste de type libéral. Je n'ai pas vu beaucoup de films de Carpenter et chaque fois que j'en découvre un nouveau, je regrette de ne pas l'avoir vu plus tôt. Ce qui me plaît chez ce réalisateur, c'est ce soupçon de folie malsaine qui hante ses oeuvres. Carpenter, c'est du glauque. Il pourra faire ce qu'il veut comme film, il y aura toujours cet odeur de soufre qui volètera dans ses films. Bon, Invasion Los Angeles est un film très soft, niveau violence, mais son message est assez corrosif quand même. Ce film, censé être l'histoire d'un banal américain qui va se battre contre l'invasion pernicieuse des extraterrestres (scénario vu et revu), arrive à être bon à cause du double ton qui le parcourt (l'invasion des ETs et, en parallèle, le message sur la société en général) sans cesse. Je conseille.



Bonus :

- un court métrage avec Batman, tout simplement somptueux !

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4 mai 2010 2 04 /05 /mai /2010 13:02

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Produit par Tim Burton, les bouilles des personnages m'avaient séduit. Et après l'avoir vu, je suis conquis.

Dans un monde post-apocalyptique, on suit donc ces "poupées" aux caractères trempés (ou stéréotypés, comme on veut :p) qui vivent sous la menace de la "Bête". J'ai beaucoup apprécié cette dernière d'ailleurs. Bien plus que la deuxième qui apparaît plus tard et que j'ai trouvé moins intéressante. La première m'a rappelé le loup noir de l'Histoire sans Fin qui avait terrifié nombre d'enfants. Et bien là, cette bête doit être bien flippante pour les enfants aussi, tant elle est habitée par une telle hargne et a une bonne bouille de chien méchant. Concernant le reste de l'histoire, ça se suit sans coups férir. Les numéros luttent pour leur survie chacun à leur manière, chacun ayant été créé avec des qualités propres. Et forcément, l'arrivée du numéro 9 que l'on suit, va mettre à mal la situation actuelle vu qu'il ne peut se contenter de vivre sous le joug de la bête et veut comprendre leurs origines et le passé.

On a donc un joli film d'aventure bien mené, bien fait et qui ne casse pas trois pattes à un canard. Le côté post-apocalyptique du monde est bien rendu et le tout est bien rythmé même s'il n'y a pas de grandes surprises dedans.

 

Le plus gros reproche que je ferais à ce film est sa durée. A peine 1h20, c'est court. L'histoire est trop courte. J'aurais apprécié 20 minutes de plus, même si je n'ai absolument aucune idée de comment les meubler sans que ça nuise au rythme du film. Mais ouais. Trop court quand même.

 

Après, on passe un bon moment devant et le film ne nous laisse pas neutre, c'est l'essentiel.

 

Yep, je fais des trucs courts en ce moment, c'est comme ça :D

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1 mai 2010 6 01 /05 /mai /2010 11:53

Ouaip, 3 semaines sans mise à jour. C'est un nouveau record. Et là, avec les vacances qui approchent, ça ne risque pas de s'arranger. M'enfin bref.

 

Aujourd'hui, je vais parler d'un film pour gn'enfants. On est dans le registre des animaux parlants comme dans Babe (souvenez-vous, le cochon devenu viking ! euh... fermier plutôt). En soit, ce n'est pas un film renversant. Mais le titre du film, pointe le personnage le plus intéressant : Charlotte.

 

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Charlotte, c'est la petite araignée qu'on voit sur l'affiche. L'histoire est assez simple, le cochon doit se faire abattre parce que comme on dit "cochon de printemps = rouleaux de printemps". L'histoire se passe dans une étable avec un cheval arachnophobe, des brebis idiotes, un couple d'oiseau comme on les aime avec des réflexions de l'un sur l'autre assez amusant, un rat égoïste et capricieux, des oies et d'autres trucs. Et puis, il y a Charlotte qui vient de s'installer dans cette grange. Rapidement, elle va se prendre d'affection pour ce petit cochon et va chercher un moyen de lui sauver la vie. Je vous laisse découvrir comment elle pourra accomplir cet exploit. Je tiens à préciser, ce ne sera pas par le biais d'aventures palpitantes, car Charlotte est assez unique dans son genre. Tout se joue sur sa voix. C'est une magnifique voix qui invite au calme et la sérénité (en fait, c'est celle de Laetica Casta en france, ben elle déchire pour le coup). Avec Charlotte, rien ne semble inquiétant. Tout problème à ses solutions. C'est une voix à côté de laquelle on peut s'endormir sans trop de soucis. Donc oui, j'ai totalement adhéré à ce doublage français.

De même, le film dégage un onirisme certain quand on voit Charlotte travailler sur ses toiles. C'est difficile à décrire, mais on le laisse aisément porter par la magie du moment. On glisse le long des fils de Charlotte comme un vol gracieux, contournant avec délicatesse la rosée matinale. Pour le reste, ça reste un film d'enfants. Mais plutôt de bonne qualité. On ne s'ennuie pas devant et le film n'hésite à montrer la vie telle qu'est, vu que le thème de la mort est abordé de front à un moment donné. 

 

Donc vi, un film plutôt sympathique et sobre. Pas exceptionnel, un peu couru d'avance, mais bien fait, ce qui est l'essentiel, outre son côté reposant ( je me demande comment Twitter avait pu l'évaluer). Et pour une araignée, Charlotte ne fait pas peur, soyez rassuré les arachnophobes ! :D

 

La BA (où je ne retrouve pas le plaisir du doublage de Charlotte, c'te loose o/ )

 

Un peu dans le registre légèrement onirique, je vous conseille ce blog (y'a même des produits à acheter si on veut).

 

Les aventuriers préfèreront aller dans ce restaurant :)

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