Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
4 mai 2009 1 04 /05 /mai /2009 20:43
Après plein de monde qui l'a déjà fait, j'ai enfin mené à terme mon anime harem. J'ai fait ça tellement comme un porc que j'ai même pas exploité le principe des calques sous GIMP et que j'en suis resté au vulgaire copier/coller.

En fin braif, voilà mon Anime Harem :





Alors, dans l'orde, de gauche à droite, pis de haut en bas (à priori, c'est l'ordre logique de lecture par chez nous mais on sait jamais avec tous ses lecteurs de japoniaiseries ! Et avec un peu de bol, manquerait plus que des coréens ou des irlandais passent dans le coin et qui ont couplé ces langues avec de l'arabe et on se retrouve à lire de bas en haut et de droite à gauche, donc MEFIANCE !) :

-Sailor Mercury aka Amy Mizuno de Sailor Moon : Elle, je ne pouvais la laisser passer. c'est tout simplement la favorite du harem, la pure premium. Pourquoi elle ? Passque c'est sans aucun doute mon premier amour pour ce qui est de la japanimation. Et comme tous les premiers amours, ça ne s'oublie pas. Je l'ai certes parfois délaissée au profit d'autres personnages, mais elle reste la reine. C'est purement l'amour de ma vie. Intelligente, plutôt mignonne sans tomber dans le registre "belle", a un caractère à tendance colérique (ce que tout le monde semble oublier parfois, mais dans le manga, c'est très clair, ses colères sont dévastatrices mais on ne retient que le côté gentille fille soumise d'elle, my my...), si je voudrais vraiment lourd, je dirai qu'il lui manque juste les cheveux longs. Mais osef, elle est parfaitement imparfaite, c'est ce qui la rend si charmante. Entre son côté bosseuse et mon côté fainéasse, ça donnerait des disputes épiquement dantesques ! o/
(et je tiens à préciser, suite à cette article, que non les sailors n'ont pas de culottes en soi. Elles ont un justaucorps ou plus précisément un maillot comme le porte les gymnastes. Je m'appuie sur cela sur un épisode où Sailor Mercury avait sa jupe déchirée ce qui avait entraîné une séance obligatoire de fap à l'époque, j'étais jeune, remarque j'avais dû passer une cassette au ralenti pour un cas de possible matage de culotte de Zia dans les cités d'or sauf qu'on ne voyait rien au final, imaginez ma déception  m'avait permis de constater que le haut et le bas formait un tout, détail très important n'est-ce pas ?).

- Sairin des 12 Royaumes : J'aurai galéré pour trouver une image d'elle. Présente à tout casser 10 minutes sur un anime qui avoisine les 1 000 minutes de diffusion, on ne peut guère dire que c'est un personnage important. Mais ces 10 minutes m'ont totalement conquis. Elle a ce petit quelque chose qui m'a fait fondre immédiatement (ça doit être les boucles d'oreille et sa coupe de cheveux, sûrement). Mais elle apporte un plus non négligeable, c'est une kirin. Donc elle peut se transformer en cette bestiole. Qui en plus peut voler. Et est empli par la compassion, a des "démons" sous ses ordres. La pacifiste du groupe.
Ca promet de longues ballades et de belles randonnées dans la nature de façon agréable. En tant qu'ancien cavalier, c'est que du bonheur d'avoir une compagne de ce type.

- Izusu (Rin) de Fruits Basket : Parce que la première fois qu'elle apparaît dans le manga, ma réaction a été : "Punaise, comment qu'elle claque elle ! \o/ "
Elle en impose grave. Elle déchire sa race. Il me la faut dans le harem. Rin, c'est de la pure bonnasse. Dommage que par la suite, elle se coupe les cheveux, ce qui lui enlève pas mal de charme. Mais avant, j'attendais à chaque détour de page qu'elle apparaisse, surtout qu'elle envoit grave bouler l'héroïne à chaque fois. Et ça, ça n'a pas de prix.
Rin bute. Et son mec est fun en plus, complètement à l'ouest et a des tendances bi. Ca peut mettre de l'animation dans le coin, c'est tant mieux.
Hein, elle n'apparaît pas dans l'anime que dans le manga ? OSEF. y'a eu un anime, pas ma faute s'ils ne sont pas allés assez loin pour sortir sa partie. Et qui sait, un jour peut-être.... (ahahaha, je rêve là).
pro tip : Et en plus, elle se transforme en cheval. /me fan.

- Osâka de azumanga Daioh : Parce que ses conversations sont tout bonnement géniales. Avec elle, il est logique que la couleur des nuages soit relaté au cycle de reproduction des crabes. Parce qu'elle est tellement lente qu'au moins je ne serai plus dernier avec elle. Et que nos conversations seront toujours passionnantes (ou pas).
Bonus : Sa bande d'amies, loin d'être négligeable. Au contraire.

- Deedlit des Guerres de Lodoss : Parce que c'est la plus belle elfe de tous les temps et qu'Arwenn des Seigneurs des Anneaux peut aller se rhabiller à côté d'elle. Et comme toute elfe, elle maîtrise le pouvoir des esprits. Et ça n'a pas de prix (attendez, ch' suis sûre qu'elle peut changer l'eau en vin, pas rien quoi ! ). En plus, elle n'est pas cruche pour deux sous et est une férioce guerrière. Elle apporte le lot de fantasy nécessaire à la présence de quêtes épiques et héroïques qui mettent de l'animation dans une vie de harem;
Bonus : Vient d'un monde où y'a des dragons qui poutrent grave. Intérêt fondamental.

- Linoa de FF8 : Hein, c'est un JV ? OSEF. Linoa est au jeu vidéo ce que Sailor Mercury est aux animes. Oui, j'ai été amoureux d'elle. oui, je sais que 85% des gens la déteste. Elle a la poisse, est (souvent) chiante, mais mon état de l'époque m'a fait complètement rentrer dans la peau du héros et par ricochet, je l'ai forcément aimée tout comme lui. J'ai tellement aimé FF8 que j'ai fait une fic de 500 pages sur cet univers, c'est dire que j'ai été accroc. Donc, elle a sa place parfaitement ici.
Bonus : C'est une sorcière qui a des ailes d'ange. Tout simplement : NEED IT ! Elle a aussi une chienne qui doit certainement jouer à la balle aussi. Ca n'a pas de prix. Et pis la BGU quio, la BGU ! Meilleure invention de tous les temps !

- Myung de Macross Plus : La femme du groupe dans un sens. Elle m'a touché par son humanité et Macross Plus est le premier Macross que j'ai pu voir en entier. Et Macross Plus poutre tout.
Une autre histoire d'amour donc. Tant que si j'ai une fille un jour, je lui collerai le prénom Myung quelque part. Au moins en deuxième prénom (à voir avec quel orthographe par contre).
Bonus : A des potes qui pilotent des avions de chasse métamorphes. Monter dedans est un rêve de gosse, tout est dit.

- Anonymous : Parce qu'on ne sait pas de quoi est fait le futur et donc je préfère garder une place libre pour le cas où. Ou permettre une rotation sur cette place. Prudnce donc. Toujours garder une place pour le futur. Toujours.



Les persos hors concours :

- La déesse :

Hors concours, parce que de part son statut, elle peut entrer et sortir comme elle veut d'un harem. Elle façonne le monde, dur de la restreindre à un harem. De toute façon, elle peut passer quand elle veut, on trouvera bien quelques activités pour l'occuper  (domptage de démons via Sairin, chasse aux gobelins avec Deedlit, tour en avion avec les amis de Myung et j'en passe...). Ben oui, mon harem prend aussi en compte l'occupation. C'est bien bô d'avoir les femmes que l'on veut autour de soi, encore faut-il se trouver des trucs à faire après !
A noter que le spécialiste des maids et grand maître des maids a fait très fort dernièrement. A voir ici.
D'ailleurs, il y a maintenant aussi une association Haruhi. A voir ici.
Haruhi rules everything !!! Y compris le Netherworld.

- Yotsuba :


Elle n'est pas dans le harem, parce que, pour moi, Harem contient une connotation sexuelle que je ne puis ignorer. Alors mettre Yotsuba dedans, mais non quoi !
Par contre, le harem est tout à fait disposer à la babysitter si besoin est !
Elle égaiera encore plus nos journées !
(et si elle peut ramener Asagi, la magnifique voisine, pour un passage dans le harem, je n'ai rien contre :] 
V'là, que Jumbo déteint sur moi. Râhlàlà, c'est du propre !)


Bon, je suis assez satisfait de mon harem. Y'a plein de filles avec qui je ferais volontier l'amour plein de fois et plusieurs fois par jour s'il le fallait, mais y'a aussi de quoi se lancer dans de folles aventures épiques ou discussions délirantes et sans fins. Une vie qui serait un long fleuve tranquille quoi !
Partager cet article
Repost0
30 avril 2009 4 30 /04 /avril /2009 19:22
Et voilà, ce mini-tournoi se finit enfin.

Pour le meilleur ou pour le pire.

Et donc...

Le grand perdant de cette bataille est donc....


Et oui, il aura su rester "useless" jusqu'au bout. Mais ne soyons pas chien, après tout il est à une voix du deuxième, et à deux voix du premier.

Oui, ce final se sera joué dans un vrai mouchoir de poche.


Et donc le winner is....

Et oui, ce con**** de Makoto a réussi à gagner d'une petite voix la première place. Notons que la bataille a été rude et que la victoire s'est jouée sur l'avant-dernier commentaire, fourni par Jack (qui a fait un article sur School Days à ce moment, comme par hasard....).

Enfin, Hayase s'en tire avec les honneurs. Après tout, comme le signale NDW, il a certainement eu un problème de berceau dans sa jeunesse.

Donc voilàààààààààààààààààà, c'est terminé. A moins que les supporters d'Hayase hurlent à corps et à cri pour que l'on refasse le vote sans Raki afin d'essayer de récupérer ses voix et de permettre à Hayase de gagner. Mais Makoto a quand même une grosse base d'ennemis quand même, je doute que ça soit suffisant. :D

En tout cas, j'espère que ce mini-tournoi vous aura bien amusé et fait perdre suffisament de temps libre.

Quand au prochain qui pourrait y avoir lieu, c'est pas pour tout de suite comme qui dirait;

See you later !

Partager cet article
Repost0
29 avril 2009 3 29 /04 /avril /2009 19:37

Bouh, je suis tout triste.

Mais c'était annoncé depuis un moment que le volume 34 de Beck serait la fin. Et là, je viens d'avoir les scans du dernier volume.

Et je suis tout triste.

Car Beck, c'est le bien. Beck, c'est clairement une histoire de PASSION pour la musique. Et du rock qui plus est.

Beck, malgré quelques longueurs qui ont pu agacer ses détracteurs- ce que je peux concéder à ces derniers bien que pour moi, elles n'existent pas-, c'est un vibrant hommage à des mythes de la musique rock comme Queen, Kurt Bobain, Zeppelin, Hendrix et plein d'autres. Beck, c'est la PASSION de la musique qui coule page par page. Beck, c'est la montée d'un groupe qui en chie en se faisant plein d'ennemis. Beck, c'est un héros qui a peut-être une voix de génie mais qui est une vraie quiche à la guitare. Beck, c'est un plaisir que de voir le héros progresser à force d'acharnement et d'engueulades parce qu'il foire ses accords en concert. Beck, c'est tout une série de personnages tout bonnement excellents dont certains font montre d'une extravagance hors norme sans que ça gênant pour autant. Beck, c'est un manga plein de PASSION qui se déverse lors de concerts mémorables. beck, c'est du "tranche de vie" aboutie où le groupe se sépare, se retrouve, des personnages qui se cherchent.

Beck, c'est tout simplement de la bonne.

Rarement un manga aura été capable d'insuffler une telle énergie dans les cases musicales. On sent la hargne du groupe quand il est sur scène, on entend presque les instruments jouer et les chants résonner dans nos têtes. Beck, c'est du vivant comme on n'en fait plus. Beck, ce sont des doubles pages et pages pleines somptueuses où l'amour de la musique s'envole.

 

beck

Beck, et ses concerts de folie....


beck2


C'est fini :'(

Mais c'est tant mieux. Mieux vaut une bonne fin qu'un truc qui ne finit pas. Et la fin est bien. What's else ?

Le dernier chapitre du livre est consacré à Eddy Lee et est lui aussi très touchant.

Beck, c'est de la bonne, c'est de la PASSION, c'est tout ce qui manque au marché du manga.

Vivement que l'édition française arrive, que je feuilleute ses pages avec plaisir ! Surtout que Akata n'a pas trop de retard sur la parution jap', ça devrait venir vite.

J'avoue. J'ai hâte de profiter une deuxième fois de cette fin. Surtout qu'une lecture suivie, c'est mieux.

Beck, c'est le bien.

Partager cet article
Repost0
23 avril 2009 4 23 /04 /avril /2009 17:03
Claymore, c'est une des bonnes surprises de 2008.

Et pourtant, l'histoire d'amour a été longue à démarrer entre cette oeuvre et moi. Pour ma défense, je pointerais les deux premiers volumes qui sont assez catastrophiques. Et encore, le terme catastrophique est gentillet. Ces tomes dénotent d'un cruel manque d'originalité pour la mise en abîme de nos futurs héros.
On se retrouve d'un côté avec je-suis-l'héroïne-et-je-parle-de-manière-monosyllabique-pour-donner-un-genre-super-mystérieuse couplé à je-suis-un-ersatz-de-naruto. Avec une mise en scène antédiluvienne. Et pour parachever le tout, au fur et à mesure des épisodes, on découvre.... Que les méchants ont tous la même gueule. Et sont moins effrayants que Hamtaro.

Puis vint un flashback qui éclaire le passé de l'héroïne. Et là, on commence à déceler quelque chose sous la couche d'ennui précédente, un peu comme Ricardo Martinez a un très minuscule frisson  la première fois qu'il rencontre Ippo (comment ça hors sujet ? Absolument pas ! °o° ). Et là, le dessin s'améliore, l'histoire prend enfin une bonne densité et devient intéressante - enfin le monde dans lequel évolue les personnages commencent à devenir intéressant. Et les tomes commencent à s'enchaîner, dévoilant une intrigue bien plus consistante et construite. Comparé aux premiers tomes, c'est le jour et la nuit. Dans le même temps, le trait de l'auteur se bonifie, les démons commencent à avoir l'air réellement de démons, et le design, assez lisse et froid, colle parfaitement bien à l'ambiance. Après l'immense gâchis des deux premiers tomes, on se retrouve maintenant avec une série qui se déroule sans accroc, parfaitement mené et qui a son lot de révélation plus ou moins bien trouvés mais jamais décevantes. Claymore a maintenant atteint un état de stabilité agréable, continuant sur sa lancée de bonification.C'est un vrai régal de suivre les aventures des héroïnes s'il n'y avait....

LE BOULET SUPER-ULTIME : RAKI !

Mais qu'est-ce que j'ai envie de le claquer ce type. Mais je dois reconnaître qu'il est fort. Très fort. C'est le seul héros que je connaisse qui est capable de faire chuter une série en apparaissant dedans. Chaque fois que Raki apparaît dans une page, soyez sûr que la série vient de chuter en qualité. En fait, c'est simple de juger la qualité de Claymore. Elle est inversement proportionnelle au nombre d'apparition de Raki. Moins il apparaît, mieux c'est. Il ne sert strictement à rien à l'histoire. On se demande ce qu'il fout là. Quoi ? Il aurait fait évoluer Claire ? Mouais, elle aurait très bien su évoluer sans lui.

Mais tout le reste, tout bon.

Ceci pour dire que Claymore est un manga qui a su s'émanciper et prendre ses marques. Les deux premiers volumes sont une vraie honte, je l'accorde. Mais, une fois passée ces premières étapes, l'auteur propose une histoire de mieux en mieux ficelée. Les rebondissements sont plus que sympathiques, on sent une réelle maîtrise de l'univers dans lequel on évolue, le dessin reste égal à lui-même. Et en plus, ça meurt à tout va dans un joyeux bordel parfaitement construit, ce qui est le plus agréable. Claymore est donc comme un bon vin qui se bonifie avec le temps. Mais... Il y a une chose qui peut faire chuter Claymore. Ou plutôt, un homme. Une plaie ambulante. Le même type de plaie que Shirou dans F/sn. Son nom : Raki. A lui tout seul, il est capable de faire chuter ce manga dans les ténèbres les plus profondes de l'enfer. Si, dans les tomes à venir, le manga devient si passionnant, c'est parce que Raki en est complètement absent. J'ignore si ce perso est une projection de ce que voudrait être l'auteur si c'est ce dernier est un mâle, ou une projection du fantasme de l'auteure si cette dernière est une fille, mais.... Non. Juste non quoi. Quand on revoit Raki après sa « disparition », ma première réaction a été celle-ci :




Avec un peu de chance, j'aurai même pu pleurer. Car oui, quand Raki revient, il se veut GAR. Sauf que c'est rien qu'une tapette comme Andromède (puissance comprise). Sans trop spoiler, vous pouvez imaginer le truc ainsi (à lire dans sa tête avec une voix bien grave de mâle dominant) : « Moi, c'est Raki. Y'a xx temps (Note : très court le temps en passant), je ne savais pas manier une épée, maintenant je suis un pur killer qui bute les démons 5s chrono. Et encore, je m'amusais juste là. Mais, je n'ai pas oublié mon coeur pur (Note : lol ?) alors maintenant, je me balade avec une petite fille dont on ne voit pas le visage (Note : Laisse-moi deviner... C'est une démone ? Ou une mi-démone, mi-humaine ? ) Et c'est que quand l'auteur me dessine, il veut que je respire la classe. Qu'on sente que j'ai mûri et que je suis devenu un homme, un vrai. Mais un homme juste au coeur bon, comme le Chevalier Libre Parn des Chroniques de Lodoss (Note : OK, Parn fait du level-up de façon monstrueuse. Mais Parn, lui il se tape la plus belle elfe de tous les temps lui (Rââââââh Deedliiiiiiiiiiiiiiiiiitttttttttttt !!!!!). Et sa némésis est sans conteste possible, l'un des chevaliers les plus GAR au monde ( Râââââââââââh Aschraaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaammmmmmmmmm !!!!!!!  Et Pirotess, of course, car 50% de la GARitude d'Ashram vient de Pirotess, car c'est un couple qui poutre tout ). Donc tout ça, ça lui file un minimum la classe. Surtout qu'on le voit un minimum grandir. Parn, il l'a gagné son statut de poseur. Et toi, on te détestait déjà avant et tu prends maintenant une attitude de méga-poseur über puissant ? Mais tu te crois toi là ????? ). Voilà quoi. C'est moi Raki. Je vais aider Claire à affronter ses ennemis. (Note : Mais diiiiiiiiiiiiiiiiiiiiie, diiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiieeeeeeeeeee !!!!!!!!! Je veux bien filer un an de salaire à l'auteur s'il te fait crever, sale branleur !!!!!) » Donc oui, je n'aime pas Raki. Je ne l'aimais pas dans le rôle du gamin pleurnichard trop gentil et je ne pensais pas qu'il pourrait m'insupporter plus, mais si. L'auteur a réussi cet exploit. Rien que pour ça, je crains le pire pour l'avenir de Claymore. Raki, c'est le petit truc qui fait tourner votre bon vin en un infâme vinaigre. Moins on le voit, mieux on se porte. Le souci, c'est qu'il est malheureusement un personnage-clé de l'histoire sans aucun doute. Malheureusement. Mais bon, par chance(?), on ne se le coltine pas beaucoup depuis sa disparition. Tant mieux. Donc, ne boudons pas notre plaisir pour l'instant et profitons de Claymore. On aura tout le temps de pleurer quand Raki reviendra sur le devant de la scène. Mais, pour l'instant, tout comme il n'y a pas d'anime Tsukihime, il n'y a pas de Raki dans Claymore. Claire cherche quelqu'un. On ne sait pas qui et c'est tant mieux. Ra-quoi ? Ah non, je ne connais pas. Je pense avoir fait le tour. En dehors du problème sus-nommé, Claymore est donc devenu, à ma grande surprise, un manga bien foutu, bien rythmé et bien mené. Il est même presque une valeur sûre à mes yeux. Croisons les doigts pour qu'il le reste.
Partager cet article
Repost0
19 avril 2009 7 19 /04 /avril /2009 23:28
Yeah.

Mode Ego-Blog.

Car quand même, y'a des fois, faut pas déconner.

Ma GBS (gentille belle soeur pour rappel) est partie en compagnie de son MMM, et donc mon PGF (petit grand frère) en voyage de noce au Japon. Ils en revenu satisfait vu qu'ils ont réussi à tomber pile poil sur la floraison des cerisiers qui est arrivée à la hauteur de Tokyo et Kyoto en plein dans leur voyage (ch'sais pas si Axel aura encore quelque chose à voir :p ).

Et plus important, ils sont revenus avec des cadeaux pour MOI (et le reste de la famille, mais ça compte moins). J'avais donc quelques revues sympathiques à feuilleter dont entre autre:

- le shônen jump et y'a vraiment rien plus rien qui m'intéresse vraiment dedans, c'est impressionnant
- le men's gold, un magazine hentaï plutôt sympathique bien que trop porté sur le oppaï à mon goût (ch'suis pas fan des gros seins moi)
- un truc qui se zieutait vite
- et le magazine qui prépublie Tough. Et là, j'ai été heureux. Et là, je me suis dit que franchement, c'était un peu la misère en France au niveau de la variété. Car dans ce magazine, vous avez successivement : un truc du type les Trois Royaumes, une compèt' de shogi avec du base ball dedans, des yak' aux pouvoirs paranormaux, des yak' qui rencontrent une communiste (c'est évidement, elle est borgne et à la faucille et le marteau sur son bandeau, un tatouage de l'insigne de l'armée rouge sur le sein, et le tatouage d'une kalachnikov sur le bras - à ce niveau, je trouvais déjà ce magazine énorme, mais ce n'est pas fini), des yonkomas (strips de 4 cases), du golf avec m'héroïne qui a une lamborghini, est sûrement un peu dominatrice tandis que que caddie est sûrement puceau :p , un concours de cuisine, de baston entre bad boy, un concours de beauté pour chien (wtf ???!!)  où on explique plein de trucs avec une rivière, le tout suivi par une fille qui se fait violer par des serpents avant de muter en plante géante, des photos d'idols, une histoire où une lycéeenne sort avec son prof, une enquête avec un serial killer ou une fille a l'air de se déguiser en mec, un alpiniste, un truc de lycéen ecchi, une histoire avec des montgolfières au temps des samouraï avec la présence d'occidentaux, des yonkomas, un truc lycéen ecchi, de la pub, avec une fille qui montre sa culotte en tenue de gens qui passent en voiture dans les rues pour les élections, , une histoire avec des kappas,, des motos couplé avec un concours de pénis, un truc glauque avec un type qui me semble schizo et dont l'autre moitié est un serial killer, un truc louche, des dessins louches et des photos d'idol.

Un tel mélange aussi varié que ce soit au niveau des dessins et des histoires file un sacré frisson. Et forcément, les autres magazines font très fades à côté. Là, y'a de tout, c'est un vrai régal. Faudrait que je checke le nom.

J'ai aussi un yukata et ça, c'est cool. Mais ce n'est pas ça qui va faire grandir, que dis-je, exploser mon e-penis d'otaku. Non, c'est la dernière chose.

C'est ça.


Mais surtout, ce qui joue, c'est qu'elle vient directement de la mecque d'Akihabara. Et CA, ça fait bondir mon e-penis d'otak'. Maintenant, je peux en remontrer aux autres, car MOI Z'AUSSI, j'en ai une grosse, car MOI Z'AUSSI, j'ai une figurine qui n'a pas séjourné dans un vulgaire carton d'un vulgaire entrepôt, mais c'était une figurine qui était dans la vitrine d'un magasin à Akibahara MONSIEUR. Ma figurine N'A MOI, elle a vu Akibahara MEME s'il y a un gros MADE IN CHINA derrière ! Moi, c'est une vraie figurine de la seule (?) déesse qui est passée par le lieu saint d'abord ! Alors que les vôtres, elles sont même pas pââââssées par le Japon si ça se trouve. Na !

Cette auto-jouissance passagère marque la fin de l'ego blog du moment.
Bonne soirée. Ou bonne journée suivant votre heure.
Partager cet article
Repost0
16 avril 2009 4 16 /04 /avril /2009 20:45
Comme vous allez le voir par la suite, il vaut mieux que j'évite l'anglais.
Mais pas grave.

Je ne ferai pas l'affront d'annoncer les derniers résultats, Raki a tout simplement gagné, son adversaire n'ayant fait un pli.

Ce qui veut dire que maintenant... TIME FOR SERIOUS BUSINESS !!!!!

J'ai hésité sur la méthode finale. Surtout qu'il y avait le choix sur la méthode. j'ai dégagé d'office la tournante, je me suis dit que Makoto avait trop l'habitude de tourner naturellement. et puis ça aurait été long à mettre en place.

Donc j'ai opté pour la BATAILLE UNE ET UNIQUE EN UNE SEULE FOIS, bouhahahahaha !!!!

Restait à savoir si j'autorisais deux votes par participant. Mais en fait, je me suis dit que ce serait trop généreux de ma part. Je veux que vous souffriez dans vos choix, chers et chères lecteurs et lectrices !!! Deux votes, cela vous contenterait trop facilement et je m'y refuse.

Donc UN vote et UN SEUL par personne. Histoire que vous hésitiez sur qui choisir.

Et dans une semaine ou deux, hop clôture et résultat. Si les votes sont très serrés, alors je ferai un deuxième tour entre les deux premiers, ça dépendra du nombre de voix qu'aura récupéré le troisième. S'il a plein de voix, ça permettra de départager les premiers s'ils sont dans un mouchoir de poche. Et éventuellement, j'intercalerai un match des trois perdants (Shinji et Shirou, ça peut donner quand même. Ah oui, et l'autre éliminé aussi).

Donc voilà, les trois finalistes qui attendent vos votes avec joie et bonne humeur (ou pas).

Mis en scène par dans de très laids motivators en anglais, histoire de renouveler les images.

Le déroulement de la partie est très simple. Lers trois protagonistes sont attachés à un poteau, le votant passe devant et file une baffe/coup de cravache/coup de batte de base-ball/autre à la personne à qui il veut donner un vote.

Et donc.... Il est maintenant temps de faire entrée en scène le premier finaliste, j'ai nommé.....


Le perso qui a un charisme d'huître couplé à une moule sèche : MAAAAAAAKOOOOOOOOOOOTTTTTTTOOOOOOO !!!!!!!!!!

Il n'est plus la peine de le présenter, mais pour nos votants les plus déchaînés, je vous propose d'acheter ceci qui charmera vos nuits !
A noter que tout votant peut participer à un mini-jeu qui consiste à retrouver Makoto sur cette image et après l'avoir diffusé à la personne détentrice de ce blog (en l'occurrence moi sous réserve d'overblog), fera automatique le score de ce dernier de 0,000001 voix ! Bonne recherche ! (on pourra noter que cet image résume magnifiquement School Days. une fille en sous-tif et un bateau. What's else ? )


Deuxième finaliste à monter sur scène, qui va avoir plaisir à se faire attacher au poteau d'exécution et grande surprise à mes yeux de ce tournoi, j'ai nommé.... Je-sais-plus-comment-il-s'appelle !
Mais le voilà qui arrive avec ses n'oeils rougeoyant qui font pas peur !

Et vu que je suis toujours un cancre sur lui, je ne peux que vous redirigez vers cet excellent article qui résume bien mieux le personnage et la série ! (et à qui j'ai piqué sans permission l'image ci-dessous, sorry :o )


Et pour finir, celui qui a écrasé son adversaire sans doute trop inconnu, sous-héros de Claymore, inutile et qui n'est qu'un boulet accroché aux pattes de l'héroïne, tellement relou que la capacité d'identification est quasi-nulle alors qu'il est certainement là pour que le public mâle est là pour ça, j'ai nommé....

Raki !!!!

Lui, je me le réserve pour la semaine prochaine dans ma critique de Claymore à moitié perdue :'(


Bon, je laisse les votes ouverts deux semaines comme d'hab', et c'est donc un final DANTESQUE qui s'ouvre à vous, vous qui avez choisi ces trois hérauts pour tenter de ravir la couronne suprême du perso qui mériterait tant de choses, tant de claques, tant de coups de fouet, tant de choses malsaines qui feraient passer les hentaï hard pour peanuts, oui, c'est VOUS chers consommateurs qui allez sceller définitivement le destin du roi !

Qui portera ce titre avec non-gloire !

Ou pas.

Et rappel. UN VOTE SEULEMENT ! Ch'suis bien content de ne pas voter, je ne sais pas qui j'aurai choisi personnellement, tant le choix est difficile.

Bon courage à vous, suivez les choix de votre coeur ou de votre raison ! o/

Que la stupidité soit avec vous ! o/
Partager cet article
Repost0
15 avril 2009 3 15 /04 /avril /2009 22:31
Voici ma critique :

- Je ne regarderai pas.

Officiellement, parce que j'ai autre chose à foutre, officieusement parce que je ne télécharge plus rien. Ou inversement.

Vous pouvez donc troller tranquillement sans moi.

Je trouve quand même malheureux que deux fois dans l'année, les bloggeurs se jettent comme des charognes sur les nouvelles sorties alors qu'il y a un tel nombre d'ancienneté qui sont déjà présentes chez nous et qu'ils feraient bien mieux de regarder plutôt que d'essayer de voir toutes les nouveautés pour "être" in (Qui a dit Larme Ultime ? Qui a dit Kacho-Ohji ? (la flemme de mettre des liens internes tiens). Mais bon, retournous leur argument contre eux. Ce ne sont rien que de sales pauvres. What's else ?


Sinon, Dybex a enfin sorti le premier FMA en VOSTF. A voir là.
On ne peut que saluer cette initiative qui consiste à faire un simulcast avec le Japon (première mondiale yeah !) et de traduire et sous-titrer les épisodes de la nouvelle saison de FMA dans la semaine qui suit enfin de les diffuser en streaming.
Espérons que leur test soit concluant. Ca fait un magnifique pied-de-nez à Hadopi. Du streaming légal et gratuit en bonne qualité ce qui est le plus important, c'est que du bonheur.
N'oubliez pas de cliquer sur les pubs en passant, c'est ainsi qu'ils auront plus de sousous et ainsi qu'ils renouvelleront la chose.
Même si on peut déplorer le fait que les subs soient quand même sortis dans le même temps, comme le dénonce Aer....

My, my...

Ah, ça n'a rien à voir, mais Miklotov cherche un coup de main à cause d'un problème sur des musiques.
Le topic est ici pour les musicos de passage qui s'ennuient :]


Et pour finir sur une note déprimante ou positive, c'est suivant la mentalité : je vous annonce que cette année, pour la première fois, nous allons avoir les Manga Party Awards.

Je cite : "Un événement en partenariat avec NRJ, MySpace, M6mobile, ParuVendu, RockOne, Game One et Nolife."

La page des partenaires est assez peuplée l'air de rien.

Enfin, c'est bien. Avec ça, le manga va donner l'impression de sortir du domaine des ados boutonneux. On sent que ça va être une soirée hônnete où les gens vont dire des choses super-intéressantes où il ne va pas y avoir d'auto-congratulation avec des résultats décevants, le tout entouré de musiques qui doit être de la soupe japonaise. Tout ceux qui participent de près ou de loin à cet évènement, viennent de baisser dans mon estime.
J'entends déjà les arguments.

J'ai déjà ma réponse :

"NRJ"
"Oui mais..."
"NRJ"

Partager cet article
Repost0
9 avril 2009 4 09 /04 /avril /2009 20:07
(Je pensais mettre Claymore, mais vu que la finale du concours est la semaine prochaine, ça aurait été injuste vu que j'enfonce Raki dans l'article. Donc on revient sur Slam Dunk)

Après le bô ratage de l'autre fois, il est temps de se rattraper.

Donc Slam Dunk.

Qui parle de basket.

A priori, un sport pour lequel je n'ai aucune affinité (à quand un manga potable sur l'équitation tiens ?).

Mais bon, les mangas étant ce qu'ils sont, on sait qu'on va se faire entraîner et presque aimer ce sport. Sont fourbes ces mangakas (CPM). Je suis sûr que même le curling deviendrait über-impressionnant entre leurs mains.

Mais revenons à notre sujet. On suit l'histoire de Hanamichi Sakuragi, jeune voyou aux cheveux rouges et type qui s'est fait jeter 50 fois par les filles au collège et qui compte bien commencé le lycée avec de la réussite. Pas de pot, la fille sur qui il a des vues, est fan de basket. Ce qui lui fait détester d'office ce sport. Mais suite à un relent de haine, ils se retrouvent à mener un duel avec le capitaine de l'équipe. Duel assez épique dans le style vu qu'il combat un gorille. Enfin, un type énorme qui se fait surnommer le Gorille par Sakuragi. Gorille qui est accessoirement le frère de la fille sur qui il a flashé. De surcroît, il découvre que la fille est amoureuse d'un jeune espoir du club, espoir qui est l'antithèse de notre héros au niveau caractériel.

Je vous rassure, c'est pas un shôjo. Y'a plus d'hormones qu'autre chose. Mais il faut reconnaître que le basket se fait attendre. D'ailleurs, sur les 7 premiers volumes, on aura en tout et pour tout un match. Tout le reste, c'est la vie des persos. Ce qui pourrait faire fuir le lecteur qui attend des matchs, des VRAIS AVEC DES HOMMES MUSCLES BOURRES A LA TESTOSTERONE !!!!!

Et c'est ce qu'on a après ! Les sept premiers tomes servent à introduire le coeur de l'équipe. Un coeur composé de sales gosses bagarreurs, plus proches d'une équipe de voyou qu'autre chose, avec tout un tas de caractères bien trempés. Limite s'ils préfèrent pas se taper dessus plutôt que de faire le match parfois. Et pendant que les liens se font entre les héros, la romance disparaît (presque) complètement et le style de Takehiko Inoue, l'auteur, s'envole de tomes en tomes. Le premier tome ne fait pas très joli, le dernier tome est un pur régal pour les yeux, tout simplement magnifique. On sent la souffrance, la PASSION, l'épuisement physique battre à chaque page. Chaque page est d'un dynamisme impressionnant, d'une précision sans faille, d'une qualité rare. Juste du bonheur.
Et comme cela ne suffisait pas, l'auteur maîtrise parfaitement son récit, se payant même l'exploit de réussir à nous faire encourager l'équipe adverse quand elle perd !
De même, un match qui n'engage pas l'équipe des bagarreurs (oui, l'équipe des héros quoi), est presque plus passionnant que les autres matchs !

Certes, le scénario tient sur un ticket de métro. Les héros font un tournoi, faut battre pas les autres. Mais, la mise en scène, l'humour (je puisse comprendre que l'on trouve sakuragi un peu lourd, mais dans mon cas, cela a été un pur régal de voir ses conneries), le déroulement des matchs dont le "courant" ne cesse d'aller et de venir d'une équipe à l'autre, les retournements de situation, les paris un peu fou, des adversaires qui ont vraiment de la gueule, tout cela concourt à faire de Slam Dunk un manga de première catégorie. J'ai rarement vu un manga de sport aussi maîtrisé sur de nombreux aspects. Car, en dehors du fait que l'équipe soit constituée de fuck**** bad'ass puissants, ils sont loin d'être invincibles et se feront battre plus d'une fois, même sur leur point fort. C'est ce dernier point qui rend Slam Dunk si jouissif à lire, c'est ce côté réaliste que l'on ressent dans les scènes (sans compter les petites notes explicatives pour faire comprendre au profane les régles du jeu qui sont parfaitement intégrés), ce souci du détail, ce.... Râh, c'est juste bon !

Slam Dunk, c'est le manga qui vous en met plein les mirettes et qui vous fait ressentir des élans de PASSION !
Ca vous donne envie de regarder du basket à la télé, tout comme Ippo vous donne envie de regarder de la boxe. Sauf que c'est une mauvaise idée pour le basket. Pourquoi ? Parce que voir qu'un match de basket serré, ça se finit par des lancers francs ("une faute vaut mieux que deux points assurés", f*ck ce genre de stratégie), ça casse l'image de gens qui se battent jusqu'au bout. Ca fait très petit joueur. Mais bon....

Pour finir, une fois passé les 7 premiers volumes qui servent à introduire les différents persos de l'équipe à l'aide de bonnes bastons des familles, Slam Dunk devient un truc énorme empli de rage, de batailles fougueuses, de stratégies, de contre-stratégies, du bonheur pour le lecteur ! En plus, la série est finie, ne se compose "que" de 31 volumes et a une fin bien trouvée qui dénote des schémas habituels.

Mention spéciale aux derniers volumes qui font presque un paradoxe temporel. En effet, chaque tome divise par deux le temps du tome précédent. Genre le premier fait la moitié du matche, le suivant, le troisième quart, le suivant quelques minutes, etc, jusqu'au dernier qui arrive à tenir sur... 1 minute. Un truc de malade qui passe comme une lettre à la poste et qui rend fou le lecteur à la fin de chaque tome. Ce dernier match est vraiment l'apothéose de la série, tant les personnages évoluent énormément et rapidement dans cette partie. un match mythique, digne de figurer dans les annales des shônens.

Donc, c'est évident, je plussoie Slam Dunk à 100%
Surtout quand on voit la qualité des travaux de l'auteur. (oui bon, là c'est encore plus beau que dans le manga et pis ça parle samouraï et pas basketteur. Mais quand même !)

En série plus récente de l'auteur, il y a le classique Vagabond qui raconte l'histoire de Miyamoto Musashi ( note pour môman si tu arrives jusqu'ici : tu sais qui c'est au moins ou faut que je colle un EPM ? :)  ) et il y aussi Real qui parle de basket (il est fan de basket, c'est logique :p ) mais cette fois-ci, en mode... Handisport. On ne peut que saluer l'initiative même si la sortie de ce dernier est complètement aléatoire du fait que Vagabond consomme tout son temps.

On peut aussi remarquer que sur son site web, on peut consulter une vieille série à lui. Qui a donné à un anime désastreux d'après ce que j'ai ouï dire.

Enfin, il fallait bien qu'il fasse ses armes dans sa jeunesse.

En tout cas, entre Slam Dunk et Vagabond, Inoue se pose vraiment en maître du dessin (même si je sais que certains commencent à détester Vagabond, c'est trop calme ^^ ).

Donc pour commencer avec lui, je recommande Slam Dunk. Pourquoi lui plutôt que Real ou Vagabond ? Passque Vagabond est bien plus digeste niveau longueur et pas près d'être fini, et quand à Real, ben, ça avance pas des masses et y'a pas eu beaucoup de basket pour le moment. Dans le cas de ce dernier, on est plus dans le cadre d'un slice of live avec un furyô qui tente de se racheter plus ou moins. Bref, là aussi, c'est assez particulier, alors que Slam Dunk est bien plus abordable.

Dans tous les cas, c'est approuvé par mes mimines! \o/
Partager cet article
Repost0
7 avril 2009 2 07 /04 /avril /2009 20:02
Un article qui va parler d'un anime cher à Niki !

Le taf', c'est cool parfois. On se retrouve à débattre sur les fansubs entre deux lignes de code (ce qui fait qu'à la fin de la journée, votre productivité est misérable) et puis, rien qu'avec mon adresse mail perso qui a transité rapidement devant leurs yeux, je découvre que je suis un pokémon ! \o/

Je suis sûr qu'il bute tout. Quasiment compatible avec rien à la reproduction. Pas de doute, c'est un signe. TOUT EST ECRIT DANS LES ETOILES !!!! C'EST LE DESTIN !!! VOTRE NOM DIRIGE VOTRE VIE !!!!! VOTRE AVENIR EST PREDESTINE !!!!

Enfin soit. Pokemon donc. Forcément, on en a parlé un peu. Dois-je rappeler que je suis fan de l'opening français ? (tiens, je découvre que la version US est über proche. Les japs sont doués pour faire des trucs internationaux. En tout cas, ça BUTE (copyrighté par Amo). Par contre, les autres génériques ont l'air à chier, ils varient les styles, du niaiseux au faux rap, mais ça claque bien moins).

Bref tout ça pour quoi ?
Un exposé sur la machine Pokemon côté série TV de la part d'un collègue.
Et comme c'est bon et agréable à lire, je ne résiste pas à la tentation de le partager.

Après, vous saurez TOUT sur la série TV Pokemon !!!









Aller hop! Un petit exposé sur cette magnifique mécanique commerciale qu'est Pokemon ^^
  • 3 persos principaux:  Sasha (le héros jap' de shônen typique: courageux voire téméraire voire carrément inconscient, ultra combattif et compétitif, n'abandonne JAMAIS, optimiste, colérique, place l'amitié au dessus de toutes valeurs), Pierre (le meilleur ami, éleveur de pokemon, et non dresseur afin de ne pas entrer en compétition avec Sacha, du coup, sert de soigneur au groupe, plus âgé et donc plus mature, de très bon conseils, beaucoup de bon sens et peu ainsi tempérer Sacha) et une nana (toujours le même archétype: la fifille enjouée, optimiste, coquette, adore le cosplay, à moitié cruche mais qui progresse parce qu'elle écoute les bons conseils des deux mecs). La nana évolue au fil de la saison jusqu'à ce qu'elle quitte l'archétype neuneu et devienne un perso sérieux. Du coup, on la sort. Exemple: la première, Ondine, est devenu championne d'arène dans sa ville natale. Du coup, elle ne voyage plus avec les deux autres mais elle apparaît parfois en "guest-star" presque plus "classe" que le héros.
  • Un fil rouge identique d'une saison à l'autre: Sasha se rend sur un nouveau continent où prend place une ligue de combat Pokemon. il y retrouve, toujours par hasard, Pierre qui, quelle coincidence, avait décider de venir sur les lieux. Rapidement, ils rencontrent une jeune débutante désireuse de devenir "coordinatrice" (en gros, ce sont des concours Pokemon où le but n'est pas de vaincre son adversaire en combat mais de faire démonstration des qualités esthétiques du Pokemon, en mettant en scène ses attaques de la façon la plus belle possible). Enfin, il rencontre un rival, de personnalité variable (variant du bon bougre ultra-sympa au gros connard à merde puant d'égo), qu'il ne parvient pas à battre. Bref, Sasha doit désormais défier un à un les 8 champions d'arène pour récupérer un badge. Ce défi l'oblige à voyager aux quatre coins du continent, affrontant moults danger, et croisant son rival à interval régulier ainsi que, parfois, une des nanas précédentes en guest-star pour un épisode spécial. Lorsqu'il a les huit badges, il peut concourir dans le grand championnat de la ligue. Puis, il réussi ou échoue en final (il ne gagne pas toujours en finale car il est important de montrer qu'il ne se décourage pas malgré l'échec et se relève encore plus déterminé que jamais), non sans avoir toutefois vaincu son rival en demi-final. Puis apparaît ensuite une sorte de "ligue parallèle", plus "underground" avec huits nouvelles arènes, huit nouveaux badges, et un nouveau tournoi. Comme c'est en marge de la ligue officielle, les règles sont plus libres, les adversaires plus retords et les combats, plus difficiles. Mais il parvient toujours à décrocher ses badges (parfois après 2 ou 3 échecs sur le même, toujours pour montrer que la persévérance est récompensée) et parvient au moins en finale. Mais là, il se fait toujours battre car il est jeune et a encore beaucoup à apprendre. Ce qui lui donne envie de progresser encore davantage: il rentre chez lui quelques jours et hop! il décide de repartir seul pour affronter les dangers d'un nouvelle ligue sur un nouveau continent. Là, il retrouvera Pierre par hasard, etc.
  • 4 Scénarios différents: à chaque nouvel épisode, on lance 1d4 et on regarde celui qui sort. On le réaménage en changeant noms de persos et couleurs de cheveux, le lieu et les pokemon qui vont avoir à se mettre dessus et hop! on a un nouvel épisode. Ces épisodes prennent place durant le périple qui relie deux arènes.
  • La Team Rocket: un groupe de trois blaireaux intersidéraux (Jessy, James et Miaouss, un pokemon "chat" grotesque doté de paroles, ce qui est inédit dans l'univers de Pokemon). Ces trois énergumènes sont des loosers absolus qui veulent faire fortune en volant des Pokemon et en particulier le Pikachu de Sasha (son premier pokemon et le seul qui l'accompagne d'une saison à l'autre). Ils font tout pour être méchants, sauf qu'ils sont surtout très cons. Du coup, dés qu'ils ont l'occasion d'être vraiment méchants, ils se dégonflent et s'allient aux héros. Ils finissent toujours l'épisode en étant expédiés sur orbite par une attaque "Tonerre" de Pikachu avec la même phrase: "Une fois de plus la team rocket s'envole vers d'autres cieuuuuuuuuuuuuuux". Et ils disparaissent jusqu'à l'épisode suivant. Ils apparaîssent à CHAQUE épisode. Un running gag en somme.

En fait, chaque nouvelle Ligue pokemon correspond à une génération du jeu vidéo. La Ligue Kanto (le continent d'origine de Sasha) correspond aux premiers pokemon sur GameBoy: Pokemon Rouge, Vert, Jaune, Or et Argent, ainsi que les remake Vert Feuille et Rouge Feu sur GBA. Le groupe de héros était composé de Sasha, Ondine et Pierre. A noter que Pierre a disparu à un moment et a été remplacé par un autre gars (le cheveux bleu et coupe au bol) pendant une partie de la saison. Puis il est revenu et n'a plus jamais été absent dans la série depuis. La ligue Hoen correspond aux épisode GBA: Pokemon Rubis, Saphir et Emeraude. L'équipe était composée de Sasha, Pierre, Flora et Max (le petit frère de Flora). Enfin, la ligue Sinno correspond aux épisodes DS: Pokemon Diamant et Perle.

Le principe de proposer à chaque fois un continent différent est une excuse pour proposer de nouveaux pokemon inédit. Ainsi, chaque nouvelle saison permet de présenter les nouveaux Pokemon de la génération de jeu en cours. On a un fil conducteur avec Sasha qui continue encore et encore de progresser, permettant de faire le lien avec l'ensemble de la série, et une nana, une petite nouvelle qui a deux fonctions: d'une part servir d'appel pour les filles éventuelles, et d'autre part placer un personnage débutant permettant d'accompagner également les nouveaux joueurs/spectateurs qui ne connaissent pas encore l'univers. Pierre sert également d'élément comique au sein de l'équipe, lorsque la Team Rocket n'est pas encore apparue dans l'épisode: c'est en effet un éternel coeur d'artichaud qui drague toutes les filles qui passent et qui se fait systématiquement éjecter.

Toujours pour se rapprocher du jeu: dans la première génération de jeux (GB), on n'avait pas le choix du personnage, on ne pouvait jouer que Sasha (bien qu'il était possible de changer le nom). A partir des versions GBA, on avait le choix entre deux personnages différents: un garçon et une fille. La fille du jeux correspondant également (avec le même prénom) a celle qui apparait dans la série comme nouvelle "accompagnatrice".

Enfin, au début de chaque jeu, on a également le choix entre 3 pokemon différents:
  • Génération GB: Salamèche, Carapuce ou Bulbizarre
  • Génération GBA: Poussifeu, Arcko ou Gobou
  • Génération DS: Ousticram, Tortipouss ou Tiplouf

La seule exception étant Pokemon Jaune où le seul pokemon dispo était Pikachu (c'était l'adaptation directe de la série).

Dans l'anime, au début de chaque saison, Sasha décide de repartir de zéro et de laisser tous les pokemon qu'il a acquis chez lui, à l'exception de Pikachu dont il est inséparable et repart ainsi vers le nouveau continent, les mains dans les poches. De là, il capture rapidement l'un des trois pokemon de départ en fonction de la génération de jeux en cours. Exemple: dans la deuxième saison, à peine arrivé à Hoen, il capture un Arcko. Et dans la 3ème, il capture un Tortipouss dés les premiers épisode. La nana, elle, suit le scénario du jeu et choisit, dés le départ, l'un des trois pokemon de départ (Poussifeu pour Flora dans la 2ème saison et Tiplouf pour Aurore dans la 3ème).

Avec tout ça, on a une série animée et un jeux vidéo qui sont pleinement raccords et cohérent l'un par rapport à l'autre. La série étant diffusée aux heures de grande écoute du public enfant/préado (la cible privilégiée du jeu même si les Geek/Otaku en sont parfois friands :-p ) donc facilement accessible à tous, et sert de vitrine en mettant en scène épisode après épisodes, tous les pokemon qui apparaîssent dans le jeu. Bien sûr, il y a dans le jeu des Pokemon surpuissants, inédits à chaque version du jeu et qui sont mis en scène dans des épisodes spéciaux en plusieurs partie et au ton bien plus sombre: plus de combat d'arène et de gentils dresseurs, place aux organisations secrêtes désireuses de s'emparer de pokemon puissants afin de les utiliser pour conquérir le monde. Et les combats ne sont plus des matchs mais bien des combats. Du coup, l'espace de 3-4 épisodes, deux ou trois fois par saisons, on a le droit à des épisodes très scénarisés, palpitants (du moins à l'échelle de la série) avec bcp de suspence et de l'action à revendre. Ces épisodes mettent en scène les maxi pokemon de la mort +10 qui ne sont accessibles qu'aux joueurs les plus acharnés et qui satisfont à certains prérequis: par exemple, acquérir des pokemon  qui ne sont pas présents sur toutes les versions, ce qui impose l'obligation de posséder, et donc d'acheter, toutes les versions du jeu afin de pouvoir obtenir les pokemon unique qui débloquent le maxi pokemon. Hop! Le tour est joué, peu de temps après l'épisode, les vente de cartouches stagnantes se voient donner un petit coup de fouet ^^

Enfin bon, voilà, en gros,  la mécanique parfaitement bien huilé du "concept" Pokemon, une machine à fric tellement bien pensée et réalisée qu'elle en est presque une oeuvre d'art ;-)



J'aime mon taf :]
Partager cet article
Repost0
4 avril 2009 6 04 /04 /avril /2009 19:53
Ca poutre !!!!

C'est tout ce que j'ai à dire.

Enfin, je n'ai fait que 20 épisodes de la première série et 3 de la nouvelle. Mais dans les deux cas, c'est du bon. L'utilisation des crayonnés rend bien dans la première série et l'anime est agréablement meublé. Le gymnase Kamogawa fait plus vivant car dans le manga, au bout d'un certain temps, en dehors des trois compères (Aoki, Kimura et Takamura), on a l'impression qu'il n'y a personne. Espérons que cette impression de vie va continuer.
La nouvelle série poutre bien avec ses explosions lors des coups.

Bref du tout bon. Bon, faut que j'aille chopper les autres DVDs de la première édition moi.

Et j'espère que la qualité restera telle quelle. Ca faisait longtemps que je n'avais pas eu de frissons de plaisir devant une série TV.

Oui, c'est un article court. Normal, on parle d'un hard puncher, un coup suffit pour mettre au tapis :p
Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Le blog de Corti Zone ou l'art d'être puceau sans le vouloir
  • : Hmmm... Des dessins pourris et des critiques de ce qui me tombe sous la main
  • Contact

Recherche

Catégories