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9 mai 2011 1 09 /05 /mai /2011 21:21

Groumph. Je suis de mauvais poil, j'ai acheté des cigarettes. Du coup, faisons un article inutile sur le blog avec des news pas fraîches :

 

- le cul et la 3D, ça fait bon ménage.

 

- d'ailleurs, Haruhi est utilisé pour illustrer un article sur le porno

 

- le net et la France, c'est pas la joie...

 

- ... pas plus que le boulot d'informaticien

 

- … mais bon, en France, on sait quand même faire des jeux

 

- … même si, des fois, la honte frappe le pays…

 

-… d'un autre côté, faire des boulettes, c'est un truc international…

 

- …faut juste avoir de quoi  se laver

 

-… ou de quoi se détendre

 

-… se lancer dans des débats sérieux

 

- …ou alors, faire totalement l'inverse

 

- …voir sombrer dans l'illégalité.…

 

- … enfin pas trop non plus…

 

- … si seulument tout lmonde était bien élevé comme les nipponais

 

- … et pas paranoïaque comme les français (ironie inside)…

 

-  … d'un autre côté, y'a de quoi l'être parfois

 

- … mais ce n'est point grave, tant que l'on continue à pleurer et à rire !

 

 

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28 avril 2011 4 28 /04 /avril /2011 19:21

Musique d'ambiance.

 

La furtive brise printannière caresse la peau, réconfortant le paresseux qui se repose au pied d'un tournesol géant. L'ombre protège le dormeur du lourd soleil qui rend somnolent quiconque se promène sous cette chaleur. Situé en haut d'une colline, le tournesol géant est comme un phare au milieu de nulle part. Son ombre se détache de façon nette sur la plaine qui l'entoure, comme un semblant d'horloge solaire pour ogre.

 

La brise se fait plus vive, tirant le dormeur des bras de Morphée. Il se frotte les yeux, s'éveillant doucement de la torpeur qui l'envahissait. Les yeux dans le vague, il regarde autour de lui. Il est trop tôt pour rentrer chez lui et trop tard pour finir son labour. Il reste quelques instants indécis tandis que l'oppressante chaleur frappe à ses tempes. Puis, il se fait la remarque que ça fait longtemps qu'il n'est pas allé voir Alpha. Il saisit son chapeau et se met en route vers le café. Quand il approche de la mer, les embruns chassent une partie de cette affreuse chaleur qui le poursuit. L'iode entre dans ses narines, lui évoquant de vieux souvenirs. Sa bêche sur l'épaule, il avance sur le petit chemin cabossé en terre. Les herbes hautes l'entourent et le chemin devient de plus en plus dur à suivre. Il devrait s'en occuper un de ces jours, il devait bien ça à Alpha, pour toute la charmante compagnie qu'elle sait prodiguer. Puis, entre deux roseaux qui se courbent sous la même brise qui l'a réveillé, il peut enfin voir le toit du café. Il sourit et presse le pas. Il sait qu'Alpha sera là, à attendre, comme toujours, le regard perdu dans le vague. Ses cheveux verts seront sûrement attachés. Quand il va arriver, Alpha va sûrement lui sourire et lui souhaitera la bienvenue. Ou alors, elle aura une petite mimique de surprise. Les clients étant rares, il lui arrive d'être surprise quand un de ces derniers arrive subitement. Puis, elle l'installera sur une table proche d'une fenêtre. Elle lui demandera ce qu'il veut et lui, il lui demandera du café vu que c'est tout ce qu'elle a. Puis Alpha s'assiera devant lui et se mettra à parler. De tout et de rien. Elle parlera, craignant qu'il ne s'ennuie. Parfois, elle aura de longs moments d'absence, où son regard se perdra dans l'immensité de l'océan que l'on peut voir par les fenêtres de son café. Il pourra alors contempler son air rêveur et apprécier les lignes de son profil et de son cou. Puis Alpha semblera oublier ses pensées et reprendra la conversation, toujours enjouée, parfois gênée quand elle demandera des choses trop personnelles. Lui, il se contentera de l'écouter en souriant, appréciant la présence de cette charmante demoiselle attentionnée. Il profitera de son visage quand les rayons du soleil couchant teinteront sa chevelure en mauve. Puis, quand il sera temps, il partira. Alpha le raccompagnera sur le pas avec chaleur. Puis, tandis qu'il s'enfoncera dans le noir, Alpha restera encore quelques temps sur le pas de la porte, suivant son client de la semaine, si ce n'est du mois, du regard. Et lui, il saura qu'il reviendrait encore une fois ici. Car, dans ce café, on pouvait y apprécier le temps qui passe en toute quiétude.

 

Perdu dans ses pensées, il ne réalisa pas qu'il était déjà devant la porte du café. Il la poussa.

 

- Kokone, on a un client !

- Ah... Bonjour. Bienvenue au Café Alpha.

 

Il marqua un temps d'arrêt. Une autre personne présente ? C'était étrange. Il avait tellement l'habitude d'être seul quand il venait ici. C'était une nouvelle serveuse. Aussi charmante que l'était Alpha, mais comparé à cette dernière, elle paraissait plus timide, moins extravertie. Elle l'invitait à venir s'asseoir à une table. Il sourit. Son café restait quand même le même. Une fois assis, Kokone vint lui présenter la carte. Il prit la même chose que d'habitude. Ecouta Alpha tandis que Kokone restait en retrait. Elle était sûrement un peu intimidée. Ils regardèrent le soleil se coucher et quand l'obscurité avala les lieux, il partit. Il sourit une dernière fois tandis que le Café Alpha disparaissait derrière lui, noyé dans les ténèbres avoisinantes. La journée avait été bonne. Agréable, il en avait bien profité. Et dans ce monde qui voyait sa propre race s'éteindre lentement, ses points de repère étaient toujours là. Que demander de plus ?

 

cheveux-vert--yokohama-kaidashi-kikou-.jpg

La mer. Le ciel. Un instant dont l'on profite quand les deux se confondent.

 

 

 

Ben... Expliquer de quoi je parle ? (et hop, un autre AMV pour meubler)

 

Yokohama Kaidashi Kikō est un manga constitué de 141 chapitres. Quand j'ai vu les premières pages de ce dernier, je me suis dit que ça m'évoquait quelque chose. Et effectivement, j'ai trouvé la réponse après avoir englouti tous ces chapitres... Une des images de ce manga est présente sur sama, une autre est présente sur le blog de skav. Il en a d'ailleurs parlé ici (et pour corriger ses liens morts, vous pouvez lire le manga ici. Pour l'anime, la princesse Mononoke les a).

Yokohama Kaidashi Kikō est une série sans but déclaré. Une série qui vit au fur et à mesure que le temps passe. Le temps perdu, le temps apprécié, le temps qui file, le temps dont l'on profite... C'est une ode à ce genre de temps qui s'écoule. Un temps derrière lequel on n'a pas besoin de courir vu qu'il nous rattrapera.

 

On suit la vie d'Alpha, une cyborg qui tient un café et qui attend que son propriétaire revienne. Mais les clients sont peu nombreux. Le temps passe et Alpha s'occupe. Elle se promène à bord de son Vespa quand elle ne travaille pas, croisant ses voisins, prenant des photos, appréciant la beauté du monde qui l'entoure. Etant un robot, elle a besoin de peu pour vivre, ce qui lui évite d'avoir des problèmes pour survivre, tout en profitant du microcosme qui la baigne. Elle écoute la radio, regarde la mer battre les rochers, va à la plage se baigner. Elle règle aussi des soucis journaliers comme gérer l'attaque d'un typhon, s'inquiéter du fait que, sous les assauts de la mer, les falaises s'érodent, mettant en danger son café. Elle passe un peu de temps avec ses voisins, comme la vieille personne au sourire louche qui tient la station-service proche de chez elle, ou la médecin dont le passé est empli de défis, ou comme les deux enfants du village voisin qu'elle voit grandir de jour en jour et qui finiront par partir en ville.

 

 

Ce qui est plaisant dans ce manga, c'est qu'on nous présente une fin de l'humanité soft pour une fois. Ici, pas de morts par millions, pas d'aberrations génétiques, pas de terres parcourues par des vents radioactifs sans fin, pas de mutagènes qui créent des monstres par millions. Non ici, l'humanité se meurt doucement, tranquillement, sans haine. Comme dans un soutra zen aspirant à la paix. La vie n'est pas forcément facile, mais elle n'en est pas pour autant infecte. Et pourtant, l'humanité meurt petit à petit, sans que ce soit directement évoqué. On constate juste que la compagnie d'Alpha se meuble de plus en plus de ses semblables que d'êtres de sang. Et quelque part, c'est apaisant. Les humains vivent. Simplement. Puis disparaissent sans faire de scandale, absorbés par la nature environnante. Les traces de leur passage ne se manifestent que par des choses positives, comme par exemple, des villes englouties dont les lampadaires illuminent les lacs lorsque la nuit tombe, créant ainsi un magnifique jeu de lumière sans fin, entre l'espace et la mer, tous deux devenant de vastes espaces lumineux.

 

 

cheveux-vert.png

Un petit coup de vent qui vous aveugle et qui fait bruisser la nature tout autour de vous.

Une scène commune dans ce monde et pourtant, un moment qui est toujours appréciable quand il est vécu.

Sentir la douce présence du vent vous englober n'a guère d'équivalent.

 

 

 

Jamais deux sans trois.


Ce manga est un hommage à une vie simple. Pour reprendre une image classique et parlante par chez nous, ce serait que c'est hommage à un pêcheur. Oui, le type qui pêche. Qui est tranquillement assis au bord d'une rivière sous un soleil printannier ou automnal et qui laisse la rivière du temps défiler délicatement devant lui, profitant d'une vie paisible.

 

Concernant l'anime, je suis partagé. Il respecte bien le matériau, mais des choses m'ont aléatoirement choqué. Comme foutre un tramway. Ou comme la couleur des cheveux d'Alpha. Ou comme donner un pistolet à Alpha. Pour ce dernier point, c'est juste qu'ayant regardé l'anime après avoir lu le manga, ça m'a semble complètement aberrant. Sauf qu'Alpha a effectivement un pistolet au début du manga. Le choc n'est donc dû qu'à un décalage temporel entre les deux. C'est d'ailleurs intéressant de voir que Alpha quitte son pistolet pour un appareil photo. Ca montre juste que ce monde ne contient plus de voleurs ou autres. En effet, quel intérêt de voler des choses quand on a déjà ce dont on a besoin ? Quel intérêt de menacer des gens alors que ça ne sert plus strictement à rien ?

Constitué de 4 OAVs réalisés deux à deux, ils restent quand même parfaitement dans l'esprit du manga. Et puis, dans les deux derniers, ils corrigent sa couleur de cheveux. Il est clair que les deux derniers m'ont bien plus que les deux premiers. Mais si, comme moi, vous ne voulez pas rugir en voyant Alpha avec un pistolet, je vous conseille de les regarder avant de lire le manga.

 

Yokohama Kaidashi Kikō est un amour déclaré aux choses simples que l'on oublie parfois. Comme s'endormir dans un lit confortable après une bonne journée. Comme le plaisir de laisser le vent caresser sa peau. Comme le fait que la vie regorge de son lot de petites surprises ou de petits plaisirs, tel qu'une bonne baignade rafraîchissante alors que le soleil tape fort. Ou le contentement de se promener, de partir en voyage pour découvrir ce que l'on connaît que par le biais des paroles ou des images.

 

Yokohama Kaidashi Kikō, c'est juste le plaisir simple de profiter des petites choses de la vie. De montrer que des choses magnifiques peuvent se passer quand on prend le temps de les apprécier.

 

Et donc, de même, je vais paisiblement passer ma trentième année d'existence sur cette peite planète, en savourant du bon champagne, du délicieux foie gras, d'un zeste de saumon fumé et de langoustines fraîches. Et les patates seront cuites je-ne-sais-comment, tandis qu'une douce tartelette aux fraises concluera ce repas qui se fera en regardant du Makoto Shinkai et en refaisant les fins de Final Fantasy VI et VIII.

Le bonheur se résume à peu de chose parfois.

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21 avril 2011 4 21 /04 /avril /2011 19:50

Vu que j'ai vu ces deux films pour "Geeks" coup sur coup, je me dis que c'est pas plus mal de parler d'eux en même temps.

 

Nous avons donc deux combattants en lice.

 

A ma gauche, Scott Pilgrim vs the World, réalisé par Edgarj Wright, un homme qui a déjà fait ses preuves niveau humour vu qu'il a réalisé Shaun of the Dead.

Scott Pilgrim vs the World raconte l'histoire d'un jeune homme qui va affronter les  7 ex-maléfiques de sa nouvelle petite amie.

 

A ma droite, se présente un prétendant de poids, Sucker Punch, réalisé par Zack Snyder qui a aussi déjà titillé du zombie avec l'Armée des Morts. Mais il s'est surtout fait connaître en réalisant 300, allégorie des hommes puissants avec de bô abdos.

Sucker Punch raconte l'histoire d'une fille qui veut s'échapper dans l'asile psychiatrique où elle a été enfermée.

 

Avoir deux réalisateurs ayant déjà fait des films de zombie dans des registres différents, c'est un bon point d'entrée pour geek.

 

Mais il est temps de rentrer dans le vif du sujet et de papotter de la chose. Lequel va gagner ce combat fratricide, enchaîner les multi-hits combos, contrer les combo-breakers et enfin, aligner une FATALITY  !!!

 

star-wars-flowchart.jpeg

Réalisation :

 

Scott Pilgrim vs the World ( que je vais abréger en SPvsW) a eu un budget de 60 millions de dollars tandis que Sucker Punch a hérité de 82 millions de dollar.

Des budgets qui n'auront clairement pas été utilisés de la même manière même si l'optique finale est de caresser la génération Y dans le sens du poil.

Dans le cas de Sucker Punch, on lui filera une splendide mise en scène avec des décors magnifiques avec moults et moults scène de ralentis pour mettre en valeur les guerrières en mini-jupes qui vont foutre des branlées à des samouraïs géants ou autre nazis-zombies-robotisés, nous faisant baver d'envie devant ces mondes pléthoriques.

Scott Pilgrim va jouer la carte un poil plus intimiste, mais titllant sans nul doute l'enfant (gamer) que nous sommes et avons été, jouant avec plaisir sur la fibre nostalgique de notre passé, passé qui nous revient en mémoire quand nous entendons des bruits absolument moches. Sans compter des effets lumineux que n'aurait pas renier les frères Wachowsky dans Speed Racer. Ou l'ajout des vagues de son sur l'écran. Quand ce n'est pas l'affichage d'onomatopée ou plus prosaïquement, d'une simple barre de chargement.

 

L'un des réalisateurs va donc abuser des plans verts, tandis que l'autre va faire bouger les pans d'un couloir avec des roulettes.

 

Les deux ont donc une réalisation un peu aux antipodes, l'un proposant une photographie absolument magnifique d'un photo-réalisme saississant, tandis que l'autre va nous filer du kitsch à outrance, avec délire sous acide en option.

 

Cette différence se perçoit durant les premières secondes des films : Sucker Punch commence via un clip musical (je ne vois pas comment mieux définir cette partie) de haute qualité, tandis que Scott Pilgrim commence avec un graphisme pixellisé et une bande-son en chiptune.

 

Bilan : Jeu égal.

L'un propose de la beauté et de la puissance à l'état brut de façon semi-réaliste, l'autre joue sur les références des téléspectateurs pour lui faire plaisir. Et les deux ont des passages particulièrement dynamiques (même si Zack Snyder en fait un peu trop à la fin, dans le dernier rêve).

 

Bande-son :

 

Mieux vaut aimer les remixs, les deux en ont abusé. Mais, dans les deux cas, elle est parfaitement réussie.

 

Bilan : Jeu égal.

Les deux films ont eu un passage musical qui m'a fait vibrer à un instant. En dehors de ce passage, j'ai tout oublié. Connaissant mon intérêt pour la musique habituellement (je dois l'un des rares types de la planète qui laisse systématiquement la musique des jeux et ce, pour tous les jeux), ça veut tout dire.


 

Scénario :

Pour l'instant, ces deux films sont toujours au coude à coude. Mais soyons rassurés, il va y avoir enfin un décalage entre les deux à partir de maintenant.

D'un côté, nous avons une plongée dans la psyché humaine avec deux niveaux de rêve où des filles combattent des allégories démoniaques de leurs ennemis réels pour atteindre leur liberté.

De l'autre, nous avons un gentil looser qui est amoureux d'une certaine demoiselle et qui doit se bastonner contre les ex-maléfiques de cette dernière pour pouvoir sortir avec elle tranquillement.

 

Devinez quel scénario va un peu se casser la gueule ? Ben oui, le premier.

Par opposition, Scott Pilgrim fait dans la simplicité de bout en bout. Il reste fidèle à son matériau de départ et l'exploite parfaitement. Ce film a été fait pour les joueurs de jeu-vidéo (+ quelques références geeks par-ci et par-là), et il ne se sépare jamais de cette idée. Ce qui fait que même si le scénario est simpliste, il est parfaitement mis en valeur pour moults et moults détails. Restant follement amusant du début à la fin, bourré d'idées intelligentes, on ne peut que l'apprécier si on a une culture video-ludique.

 

Sucker Punch, euh... Le souci majeur, c'est qu'on finit par s'ennuyer. Certes, le plot de départ est plutôt bien trouvé : s'échapper du réel via les rêves. Ca a même de quoi titiller beaucoup de monde, surtout quand ces rêves se passent dans des archétypes d'onirisme. Sauf qu'une fois qu'on a passé l'enchantement du premier rêve, chaque rêve suivant devient de moins intéressant que son précédent. Alors que les ex-maléfiques de Scott Pilgrim arrivent à monter en puissance, les rêves de Sucker Punch deviennent de plus en plus soporifiques. Pour une raison toute simple : on n'en a rien à foutre des persos et de ce qui se passe à l'écran et vu que les univers sont tout simplement vides d'histoire vu que vouer à une existence éphémère, ces univers n'ont plus rien d'attrayant. C'est ce qui manque le plus finalement : un manque cruel d'enjeu dans les rêves. Ils sont censés être l'aboutissement d'une action du réel et au final... Bah, OSEF quoi. Du coup, la caméra de Znyder qui se sent d'humeur virevoletante dans le dernier rêve, devient juste saoûlante. Sans compter que l'idée même des rêves reliés à des univers part un peu en live, car bon, qu'elles ramènent des flingues dans de l'héroïc-fantasy, je veux bien, mais... Un avion ? Et de même, pourquoi se limiter à un hélicoptère tout droit sorti du VietNam quand elles sont dans le futur ? Il n'y a guère que le mecha de la seconde guerre mondiale qui ait un soupçon d'intérêt. L'avion et l'hélico, ils sont juste là pour que l'asiat' ait un truc à piloter, et ça fait un peu tiep au final.

Après, certes, le scénario a plus d'un tour dans son sac (ATTENTION : le lien précédent est bllindé de spoilers !) .Sauf qu'en fait.. On passe facilement totalement en travers de toute cette thématique. Ben ouais, on nous vend le film à coups de filles en mini-jupe armés de gros flingues qui se tapent du gros streumon. Faut pas s'attendre à ce qu'on essaye de fouiller la bête pour comprendre le pourquoi du comment. Surtout que comme je l'ai précédemment, on s'en fout un peu en fait, vu que les filles ne semblent pas briller par leur lucidité (et plus par leur plastique). La partie dans le cabaret est juste chiante et ne sert strictement à rien, alors qu'elle devrait être importante, vu que c'est la zone tampon entre le rêve et la (plus ou moins) réalité.

 

Ce qui fait que je me trouve avec un paradoxe : j'aurai aimé que ce film m'offfre plus de scènes de baston alors que pourtant, la dernière scène de baston me lassait. C'est étrange comme sentiment.

 

En fait le problème, c'est que Zack et moi, n'avons pas la même notion de rêve. J'aime avoir des rêves un tant soit peu cohérents et qu'ils aient un minimum de substance. Du coup, je m'attendais à ce que les rêves d'action durent un peu plus longtemps et offrent quelque chose de "plus". Sauf que Zack en a fait des rêves bruts. Et que le rêve construit, cohérent et tout (le cabaret), je m'en fous complètement en fait. Du coup, pas étonnant que ce film m'ait déçu.

 

Par contre, Scott Pilgrim... Youhou, ce fut la fête du slip ! 1-UP POWA !!!! o/

 

Bilan : Scott Pilgrim WINS !

 

Conclusion :


Scott Pilgrim remporte donc ce duel à l'arraché dans la dernière ligne droite. Sucker Punch ne démérite pas, même si j'ai pu donner l'impression d'être un peu dur avec lui précédemment. Mais disons qu'il n'a clairement pas rempli son contrat à mes yeux. D'où une déception. C'est un peu le même problème que j'ai eu avec Slumdog Millionary d'ailleurs, où j'ai eu des attentes supérieures au résultat.

Et c'est d'ailleurs pour ça que Scott Pilgrim m'a autant plu, vu que j'étais juste curieux de voir ce qu'il en était, vu le tintamarre qui entourait son existence.

Finalement, si Sucker Punch perd son combat contre Scott Pilgrim, c'est sûrement parce que ce premier est trop prétentieux par rapport à ce qu'il aurait pu être. On m'a vendu "des filles en jupe qui lattent plein de gros streumons différents" et je me retrouve avec "une reflexion sur la porosité entre rêve et réalité ce qui nécessite une réflexion sur la réalité des personnages dans le film". Notons que ça peut être marrant et plus agréable de regarder le film sous cet angle (même si, à mon avis, il manquera encore d'un certain rythme), mais, moi, je considère avoir eu de la publicité mensongère. Et, rien que pour ça, je suis tout desu.

 

 

Et ce qui me rend encore plus desu, c'est cette nouvelle....

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31 mars 2011 4 31 /03 /mars /2011 21:00

Il était une fois, un petit chien noir dont les plaisirs de la vie se résumaient à errer dans les mégalopoles de type tokyoïte. De par sa petite taille, il bénéficiait d'une vision du monde peu commune, il n'avait nulle notion de bas. Il devait sans cesse lever son minuscule museau à chaque instant pour voir le monde urbain vivre. Il avait une fois entendu dire, via un salary-man éthanolisé qui lui avait jeté un morceau de boeuf, chose ô combien rare et précieuse à ses yeux, qu'il possédait certainement une magnifique vision du monde en contre-plongée. Il ne comprenait pas trop la signification de ces paroles, mais cela devait sûrement expliquer pourquoi les tours géantes des mégalopoles qu'il visitait, semblaient sans fin et se courbaient vers le ciel comme la griffe d'un démon tentant de s'échapper des enfers. Cette impression se renforçait lors des jours de nuit pluvieuse, où ces bâtiments prenaient alors une teinte sinistre grise, parcouru par de stries noires... Avec leurs quelques endroits allumés, ils apparaissaient alors comme un long ongle griffu, usé à force d'avoir tailladé la terre pour en émerger, empli de crasse qui se répandait le long de longues fentes où la kératine de l'ongle s'était déchiré, cachant la chair à vif par des ténèbres. En les voyant en ces nuits sombres, le petit chien frissonnait. Mais sa vie était agréable. Il aimait traîner dans les ourlets des robes des femmes au foyer qu'il croisait, bien que ces dernières le pourchassaient souvent, se faire caresser par des collégiennes amusées par son allure, rester au chaud dans les wagons du metro, ...

La vie continuait, et il vagabondait joyeusement, bourlinguant d'un bout à l'autre du monde, voyageant grâce à l'altruisme des humains.

Et puis vint un jour magique... Alors qu'il se reposait dans un boulevard face à un écran de télévision, il vit passer devant lui cinq jeunes femmes. Cinq femmes d'une beauté incontestable et incontestée. Chacune avec sa beauté unique, beauté qui découlait du caractère de la jeune femme. Le coeur du jeune chien fit un bond dans sa poitrine. Mais pas à cause de ces jeunes femmes proprement dites - il en avait vu bien d'autres à force de parcourir le monde -, mais c'était surtout parce qu'au-delà de ces cinq jeunes femmes, il percevait tout un nouveau monde. Un monde excitant, plaisant, baveux, varié et surtout... Un monde empli de plaisir, parsemé de quelques tâches d'humour.

Mais il n'était qu'un petit chien ! Même s'il pouvait regarder sous les jupes et les robes de toutes les filles de la planète, jamais, ô grand jamais, il ne pourrait faire partager ce qu'il était en train d'imaginer.

Le petit chien noir pleura. Il pleura tant et tant qu'il perdit tout son pelage. Il ramassa alors chacun des poils perdus pour en faire un pinceau de fortune. Et il put commencer à dessiner. Son premier jet sortit sur un vieux journal jauni par les immondices. Ce fut laid. En même temps, la boue était loin d'être quelque chose de simple à manipuler. Mais il ne renonça pas. Et s'entraîna encore et encore. Il voulait faire partager ce monde onirique qu'il avait vu au-delà de ces cinq filles.

 

Peu à peu, le petit chien noir s'humanisa. Il devint même un humain presque normal. Il finit par prendre le pseudonyme de Black Dog afin de signer ses oeuvres. Et ce fut le début d'une reconnaissance mondial pour lui, tant moults et moults humains attendaient enfin quelque chose de ce genre...

 

 

 

 

Il est temps de quitter les douces affres du conte et de revenir à quelque chose d'absolument sérieux : parlons cul des oeuvres de Black Dog.

 

 

Si j'ai eu envie de parler de Black Dog aujourd'hui, c'est tout simplement parce que, outre qu'il me fallait un sujet un peu original pour les sama awards, je kiffe cet auteur. Et que ça faisait longtemps que ça me travaillait de parler de lui. L'occasion faisant le larron, vous connaissez la suite, chers lecteurs qui parcourez ces lignes.

 

 

 

 

Black Dog est donc un dessinateur de doujin hentaï (pour ceux qui ne connaîtraient pas, dites-vous que ça a la même relation avec le manga que le cinéma porno avec le cinéma). Son domaine de prédilection : Sailor Moon. D'ailleurs, on peut constater que sur les 60 doujins qu'il a fait ces 15 dernières années, 43 sont sur Sailor Moon (liste ici, liste qui doit comporter quelques doublons, car certains tomes ont été réunis dans des compilations).

Oui, le bonhomme (j'ignore s'il bosse seul, mais on va dire que oui) est productif et oui, il kiffe Sailor Moon.

 

 

 

 

SailorMoon01.jpg

Je remets cette image en passant pour ceux qui ont oublié à quoi ressemblait les filles de Sailor Moon.

Et non, ce n'est pas du Black Dog.

 

 

 

Mais outre les qualités graphiques sur lesquels je reviendrai plus tard, il y a quelque chose qui marque sa différence par rapport à d'autre productions : les Submissions. Ces derniers sont vraiment un élément incontournable de sa production tant ils sont l'une des raisons qui fait qu'il est autant apprécié.

 

On va donc commencer par parler de ces derniers.

 

Submission : Un arc sailor Moon (presque) normal

 

Il faut le reconnaître, les Submissions ne sont pas tout récents vu qu'ils affichent plus de 15 ans  au compteur pour le premier d'entre eux. Graphiquement, ils ont un peu vieilli. Mais on peut déjà distinguer certains éléments qui deviendront la marque de fabrique de l'auteur :

- des filles plutôt fines....

- ... avec de looooooooooooongues jambes...

- ... qui se font souvent abuser contre leur gré....

- ... avant de succomber au plaisir avec des sourcils tombants...

- ... et qui finissent par punir les méchants, parce que dans Sailor Moon, le mal est toujours puni ! Car bon, elles ont peut-être eu du plaisir, mais faut pas déconner non plus, c'était contre leur gré !

 

Le véritable point fort de cette mini-saga, c'est que l'auteur a construit tout une histoire au fil de l'eau, avec ses personnages récurrents. Une histoire qui n'est certes pas transcendante, mais qui a le mérite d'exister, respecte parfaitement les personnages et qui se paye surtout le luxe de mettre des pointes d'humour à la con.

 

Exemples :

 


Sailor Mars 1

Cas 1 : La remarque à la con de l'auteur en bas à gauche est le genre de truc qui me font sourire


 

Sailor Mars 2Cas 2 : Une référence au manga Parasite en douce.


Et encore, je ne vous parle pas du fait que le machin écrasé tout en haut de la première image et que la tête de la deuxième page, représente le même personnage. Je suis sérieux.

 

Sailor-Mercury-1.jpgCas 3 : L'héroïne se fait attraper par les méchants parce qu'elle...

.... a pris la même posture que d'habitude après sa transformation. Loul.

 

 

A côté cette humour permanent, les Submissions regorgent d'action. Pas que sexuelle bien sûr. Mais il y a du mouvement, les méchants essayent de se battre avec différents moyens. Par exemple, dans le chapitre consacré à Sailor Venus, le méchant vient avec une poupée robot pour combattre son ennemi, ce qui entraîne des combats plutôt sympathiques avec de gentils retournements de situation. D'ailleurs, c'est ainsi que petit à petit, les méchants se diversifient et chacun sous-fifre méchant gagne un design alors qu'au début, ils sont tous identiques. C'est plaisant, et ça donne un peu d'épaisseur à ces ennemis qui, même morts, peuvent parfois revenir au combat. Il y a aussi un méchant chaotique dans le lot, que je soupçonne être un peu la projection fantasmée de Black Dog (ne serait-ce que parce qu'il se tape Sailor Mercury qui est une des sailors préférées du monde entier et que le type est un gros bill de surcroît). Il est assez amusant, car bien qu'il tienne à la fille qu'il aime, il n'hésite pas à être sadique pour pouvoir coucher avec elle. Un bon vieux chaotique neutral qui fait ce dont il a envie, quand il en a envie.

 

Un peu d'humour, un peu d'action, un scénario simple qui tient le tout... Et les scènes X alors ???

 

Et bien... Elles sont plutôt réussies. Même si elles se basent systématiquement leurs débuts par un viol, et bien que ça fasse ouate temps que je n'ai point relu l'intégralité des Submissions, j'en garde le souvenir que l'auteur a tenté de varier les situations. Ainsi, ça va du couple simple couple au gang bang, tout en faisant un crochet par du SM léger avec objets sexuels, avant de virer sur du tentacule. Il va même faire du futanari (des filles avec des sexes d'homme). La fin se passera bien sûr dans une orgie gigantesque.

Ce qui est appréciable, c'est que même si on est réfractaire à un genre, comme l'auteur ne verse jamais dans le gore/trash, ça reste consommable. Quelque part, les Submissions ont un côté soft, qui se contente plus sur le plaisir qu'éprouvent les filles via l'expression de leur visage, que faire de gros plans de vis qui rentrent dans des écrous pour faire une métaphore douteuse. C'est peut-être l'époque qui voulait ça, mais c'est agréable d'avoir quelque chose un poil plus érotique que la moyenne.

Sans compter que même si les filles sont fines, elles n'en restent pas moins parfaitement proportionnées, ce qui les rend agréables à l'oeil. Pas de gros seins à assommer un boeuf, pas de filles totalement plates, mais des tailles de seins qui correspondent morphologiquement aux persos.

 

Malgré son titre peu original, Submission est vraiment un incontournable à mes yeux tant il est varié et bien rythmé. et puis, l'auteur a eu une idée de génie pour ses titres. Chaque chapitre est composé de deux mots : "Submission" et "Le nom de la sailor qui va passer à la casserole". Et ça, c'est un truc absolument génial. Tout simplement parce que si vous voulez retrouver une scène en particulier, ça devient simple, mais siiiiiiiiiiiiiiiiiiiimple. Et ça, c'est cool.

 

Il faut de plus noter que c'est assez rare de trouver une parodie hentaï qui dure aussi longtemps. Habituellement, dans un doujin hentaï tiré d'une série, on a nos 20 ou 40 pages, une petite histoire plus ou moins bien trouvée (et encore...), une scène de sexe et basta.

 

Là, l'histoire doit bien s'étirer sur plus de 400 pages. Ce qui laisse de quoi faire. Il n'y a guère que dans les doujins hentaï avec une histoire totalement originale que l'on retrouve ce genre de chose. Et encore, ce nombre de pages, ne comprend pas tout....

 

L'ordre chronologique des submissions dans mon vague souvenir :

 

- Submission Mercury (plus)

- Submission Jupiter (plus)

- Submission Mars

- Submission Venus

- Submission Saturne

- Submission Sailor Moon

- Submission Sailor Stars

 

 

Autour de Submission

 

L'auteur a repris la trame de Submission pour créer moults et moults doujins Sailor Moon autour de ce noyau. Par exemple, on reverra souvent le méchant chaotique neutre à l'action qui va devenir professeur au collège des Sailors pour pouvoir profiter de ces dernières. Et va en profiter pour construire une relation triangulaire entre ce prof, Sailor Mercury et Sailor Jupiter, permettant ainsi développer une relation yuri (relation entre femmes) entre les deux Sailors.

De même, l'auteur en profitera pour approfondir un peu les sentiments de chacune, ce qui leur donne un peu de relief.

 

Ou bien il partira sur comment certaines des filles ont pu perdre leur pucelage, ou s'embarquera dans des trips complètement stupides avec la révolte des monstres tentacules, où ces derniers sont tout simplement hilarants tant ils sont cons.

 

Il se paye même le luxe de proposer une 'Bad End' à son Submission dans "Another One Bites the Dust" et a fait des reboots de ses plus vieux Submissions (les fameux 'Plus').

 

Il va aussi y avoir nombre de doujins sur les trains où les Sailors (ainsi que des personnages d'autres séries) vont se retrouver dans des gang-bangs à tout va, dont la cause sont des démons liés aux personnages de l'intrigue de Submission (après tout, c'est pas leur faute, coucher avec une sailor, c'est faire le plein d'énergie ! Comme dans Urotsukidoji ! :D ).

 

Le tout gardant toujours des pointes d'humour qui font le plaisir de la lecture avec les réactions des personnages un peu concons parfois, un peu pervers, un peu sadiques... Inutile de préciser que pour moi, les oeuvres de Black Dog sont plus intéressantes traduites, sinon on perd la moitié de l'intérêt. Car bon, les textes sont... Juste bien trouvés en fait. Les mecs/démons ne pensent qu'à coucher avec des filles (qui sont forcéments dans la fleur de l'âge et donc mineures) et toutes les raisons sont bonnes pour en profiter. En général, ils "profitent" que des démons les possédent pour assouvir leurs fantasmes sur ces filles bien foutues. Et le pire, c'est que comme c'est amené avec un soupçon d'humour, ça passe tout seul. Et comme la morale finale est rarement en faveur du violeur, la morale est quand même sauve en partie.

 

Et il y a une palanquée de doujins de ce type, de quoi occuper de loooongues soirées. Et des "What The Fuck" énormes quand on découvre que Sailor Mars doit coucher avec des revenants pour les renvoyer au ciel et qu'en plus, un CHIEN revenant se mèle à la chose. Un CHIEN. Et en plus, ça passe tout seul (à répéter ad vitam eternam).( pour les zoophiles, ça se passe dans "Magician's Red", si je ne trompe pas).

 

Ce qui est bien, c'est que toutes les filles sont servies, pas une y échappe, et vu que l'auteur en a cinq à disposition, il peut largement trouver des nouveaux angles d'attaque.

 

 

Image Not Safe For Work (interdit aux moins de 18 ans quoi)

Le pelotage, c'est tout un art ! \o/

Notez les sourcils tombants, la petite Bunny Tsukino commence à céder à l'appel désir.

Et à côté de ça....

 

On retrouve les fameux trains. Où vont se perdre les filles de Lucky Star dans "Man in the mirror" ou Sasaki de AzuManga Daioh dans "Spicy Girl". Avec tant de trains, on pourrait légitimement se demander s'il a un lien de parenté avec Makoto Shinkai. Ce qui est évidemment faux, le train et le bus sont un haut lieu de fantasme japonais. Si vous voulez savoir pourquoi, le mieux est encore de lire le volume 5 d'Angel ( seul manga interdit d'exposition en France en passant ) où l'auteur, U-Jin, part en croisade contre la censure (et il part complètement en live d'ailleurs, il se représente sous les traits de Michaël Jackson, c'est dire).

 

L'auteur semble avoir une préférence pour les filles aux cheveux longs et noir en tout cas. Ceci dit, il touche un peu à tout. Aussi bien FLCL ("Enigma"), K-On ("Chocolate Disco"), Genshinken ("Weather Report"), Kare kano ("White Album").... Il y a certainement de quoi trouver son bonheur, surtout qu'il y a un peu de variation sur les scènes X (mais moins que dans Submission).

 

 

Et donc, en général ?

 

 

On peut reprocher un défaut à Black Dog, c'est que finalement, ça manque un peu de renouvellement parfois. Mais d'un autre côté... Je suis totalement sous le charme. C'est sans doute parce que Black Dog est l'un des premiers auteurs de hentaï que j'ai rencontré, il y a quelques années, ce qui rend difficile de ne pas avoir un brin de nostalgie quand je lis une de ces oeuvres. Mais bon, il y a le plaisir de voir que le style de l'auteur a évolué entre temps, retrouver son attachement à s'appliquer à faire de jolis baisers ou de développer tout un art sur le pelotage des seins.

 

 

 

 

kagami

Je n'ai pas réussi à retrouver le baiser que je voulais, mais celui-là fera l'affaire.

 

 

Sailor Mercury 2Amy, alias Sailor Mercury. 12 ans séparent ce dessin de celui qui est en haut.

Un trait toujours reconnaissable et une évolution graphique palpable.

Et de loooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooongues jambes à faire pâlir Adriana Karembeu ! \o/

 

 

 

Black Dog, c'est juste le bien. J'aime bien comment il laisse aussi la peau des filles blanches et qu'il noircit la peau des hommes. Ca renvoie un peu plus à l'idée de démons qui s'en prennent à des filles sans défense (blanc, notion de pureté, toussa).

Je n'ai vraiment qu'un regret vis-à-vis de ces oeuvres. C'est qu'il y a quelques années, il y avait un site qui avait TOUTES SES OEUVRES EN LIGNE ET TRADUITES EN ANGLAIS !

La joie ultime quoi.

Et ce site semble avoir disparu dans les tréfonds du web... J'ose espérer qu'un jour je pourrai remettre la patte sur tout ce qu'il a fait en une fois et de pouvoir relire toutes les excellentes conneries qu'il a écrit. Mais d'ici là... Il faudrait se contenter de ce qui est updaté par-ci et par-là...

 

Quelle tristesse Y_Y

 

Mais bon, je ne suis pas trop inquiet. Black Dog est clairement un auteur de qualité et qui est parti pour régner éternellement sur les doujins de Sailor Moon vu son prolifisme. Et Sailor Moon est tellement connu que nul doute qu'il y aura encore des gens pour traduire/updater ses doujins. Ne serait-ce que parce que les doujins qui cumulent aussi bien humour, action, textes taquins avec des pointes de léger sadisme et filles bien proportionnées ne sont pas légions. J'aimerai tant et tant m'étendre sur le sujet mais je ne sais pas quoi dire de plus. Le mieux est encore de tester par vous-mêmes et de voir la chose.

 

En tout cas, pour moi, c'est vendu : Black Dog, c'est le bien ! \o/

 

Et on rajoute la bannière qui va bien pour finir:

Concours Sama Awards

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28 mars 2011 1 28 /03 /mars /2011 23:23

300

Y'a pas à dire.

 

Je kiffe ce film.

 

Ne serait-ce que pour le plaisir de voir autant de tablettes de chocolat frétiller sous nos yeux de buveurs de bières/mateurs d'anime de plus de 30 ans. 'Men sana in corpore sano' comme on dit.

 

Non mais sérieux. Ce défilé de types qui se baladent en culotte courte et qui foutent des branlées à l'envahisseur à coups de stratégies et surtout, de techniques rodés sur comment se battre, c'est culte.

 

C'est une pure apologie de la droiture, de l'HOMME dans tous ses excès. Un corps parfait, une droiture exemplaire, ça poutre. Ca n'est guère étonnant que ça satisfasse des ambitions nauséabondes du style fasciste. Ouais, clairement. 'Men sana un corpore sano'. 'Homme sain dans un corps sain". La perfection de l'eugénisme en quelques mots. Mais...

 

Pourquoi ce précepte devrait-il se résumer à l'eugénisme ?

 

Après tout, la notion d'un homme sain dans un corps sain, renvoie plus à une théorie plus globale à mes yeux. Un peu comme... 'Être bien dans ses baskets'. Un type bien dans ses baskets n'a pas besoin d'avoir un tablette de chocolat en guise d'abdomen. Non, ça renvoie plus à une idée globale de bien-être. Certes, le culte du corps renvoie l'idée qu'un bon corps, est un corps avec des tablettes de chocolat. Sauf...

 

Que c'est une vue purement occidentale de bien-être. Tenez, si je vous disais qu'en Asie, un type bien est un type gras dont le bedon dégouline au-dessus de la ceinture. Vous en penseriez quoi ? Que c'est une mauvaise blague ? Si mes sources d'il y a 10 ans sont toujours aussi fiables, ce n'est pas le cas. Car le bedon qui dégouline du ventre n'est rien d'autre qu'un symbole de richesse. Et de fait, un symbole d'un type bien nourri et qui peut alimenter ceux qui travaillent pour lui. C'est une étrange vision par rapport à nous occidentaux, qui culpabilisons quand nos poignées d'amour commencent à dégouliner par les côtés.

 

Mais c'est aussi juste un exemple pour montrer que, même si le théorème 'Men sana in corpore sano' est vrai, il ne faut pas forcément le prendre dans l'idée basique du type qui a une bonne tablette de chocolat en guise de ventre. Et donc...

 

Chers compatriotes et lecteurs qui ont le ventre qui commence à déborder sur le côté du jean, ne dites qu'une chose à votre conjointe qui vous réclame un régime !

 

Et cette chose, c'est ceci : "Ma douce, je comprends les remontrances que tu m'adresses concernant mon état ventreux, mais le fait que j'ai un gros bide, ça veut aussi dire une chose : je suis bien nourri. N'est-ce point la chose la plus merveilleuse en ce bas-monde que de savoir que l'être que tu aimes ne manque point de nourriture ?"

 

C'est un simple fait, vraiment tout simple. Et pourtant, il manque cruellement à une très grosse minorité de la planète (aussi bien mentalement que physiquement). Oh, bien sûr, il ne faut point abuser des débordements de notre ventre. Mais bon... Un petit peu, ça ne puit faire de mal. Ca prouve au moins qu'on vit un minimum bien, même si on n'a point conscience à chaque instant de cet avantage dans notre vie.

 

C'est pour ça que 300 est un film qui bute. Car ce qui compte, ce n'est pas qu'on ait un corps parfait. Mais juste... Le plaisir de la vie et la volonté d'être mà, qu'on existe.

 

What's else ?

 

On s'emmerde à trouver des raisons pour vivre. Quelle perte de temps. Avoir du bedon, même si ça ne plaît pas forcément, c'est un signe que l'on vit. Plutôt bien. En dehors du cas de l'obésité, of course. Mais la limite qui permet de définir que l'on est obèse est encore flou. Autant en profiter dans la joie et la bonne humeur.

 

Non mais sérieux. Le charme de 300, c'est sa photographie merveilleuse, à la fois réussie et mauvaise parfois. Sauf que c'est si bien orchestré, que même si les spartitates se trimballaient avec des ventres en forme de ballon de basket, je suis sûr que je kifferai autant ce film.

 

J'aime les combats perdus d'avance (si j'étais capable de retrouver la belle citation que SnakeBZH sort à l'occasion pour ce genre de cas, j'en serais joie, mais non...), tout simplement parce qu'ils symbolisent l'inanité de la bataille. Et pourtant, la bataille a lieu ou eu lieu. Ca résume la question. Ce sont comme des marques du passé qui nous guide. Fort Alamo est sans doute bien plus connu que les victoires de Napoléon. Et pourtant, il reste l'histoire d'une défaite. Un simple film américain permet-il cette connaissance et ce respect ? J'en doute.

Finalement, ce sont les défaites FOR GREAT JUSTICE qui marque le plus notre monde. C'est idiot. Mais c'est ça qui rend charmant le film 300. Des experts, des fougueux qui finissent par sombrer sous le nombre alors que leur combat paraît juste (non, car bon, si on fouille l'histoire, Sparte est hachement moins cool qu'il nous la présente dans le film).

 

Que dire d'autre ?

 

300 est un hymne à la vie et à la liberté très chère aux américains, qui n'ont toujours pas compris que la liberté totale signifiera la fin de l'humanité. Ce film est juste un ôde aux valeurs, qui se font respecter de manière sanglante. c'est d'ailleurs un point amusant. Si le côté gore fonctionne aussi bien dans ce film, c'est tout simplement parce que la société, bien que s'enfonçant dans le trash, s'aseptise petit à petit.

 

Mais vous savez quoi ? OSEF (on s'en fout pour ceux qui ne le sauraient pas (vivi, y'en a qui lisent ce blog et qui ne le savent pas) ). Ce film n'est qu'une question de valeurs, c'est tout. Ceux qui y voient une apologie de l'eugénisme sont juste des idiots.

Avec mon ventre gras, je pense que j'aurai plaisir à combattre avec les guerriers de 300, même si je ne suis qu'un sale douillet incapable de me battre. Et pourtant n'importe quel imbécile est capable de mettre sa vie en jeu. Tout ce qui compte, c'est de savoir pourquoi on la met en jeu.

 

 

....

 

 

 

C'était le post bordélique du lund soir ! \o/

Mais ouais, 300, même s'il y a un abus des ralentis, que le film a des effets spéciaux d'une qualité hasardeuse, je kiffe ce film, parce qu'il est CLASSE, tout simplement.

 

Bon, je ne vais point me relire, j'ai peur des stupidités que j'ai pu écrire o/

 

Et pourquoi j'ai écrit cet article ?

 

Parce que je voulais juste linker cette vidéo (à voir après avoir vu le film, of course ^^ ). La vie, c'est définitivement rigolo :o

 

(en passant, "V for Vendetta" est sympa aussi :)  )

 

Et dans le genre encore plus crétin, y'a ça aussi.

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23 mars 2011 3 23 /03 /mars /2011 21:56

Ce soir, mon antre cervical s'est retrouvé dans un débat terrifiant. Un débat qui se renouvelle de manière quotidienne. Par le fait de l'abstinence de ma capacité à faire des courses, n'ayant plus qu'un bol de riz comme tout repas, ma litanie qui reprend à chaque fois que le crépuscule tombe, s'est à nouveau éveillée. Et c'est traduit par : "Bordel de merde, qu'est-ce que je vais bien pouvoir manger ce soir ???"

 

Car bon, faire des courses pour un repas chaque soir, ne fait que repousser la problématique de 24 heures. Là, j'étais en train de me dire que j'allais me laisser tenter par une boîte de raviolis en boîte avec quelques bières pour regarder des films. Mais ça ne m'enthousiasmait que de manière moyenne. Après, avoir somnolé 15 minutes, mon réveil en grâce détermina une toute autre solution : aller bouffer au nouveau restaurant qui vient d'ouvrir à 50 mètres de chez moi. Et c'est ainsi que je me suis rendu pour la première fois de ma vie dans un restaurant coréen à Agglomération-sur-Marne (c'est pas dur à trouver, c'est juste à côté de Banlieue-sur-Marne). Un choix sans nulle doute influencé par un dénommé Boïchi qui parsème ses mangwhas ( un manga coréen) de tant de pages sur la bouffe, qu'il m'a donné envie de tester un peu la chose. Ca, et le fait qu'il dessine de jolies filles.

 

Soyons honnête, ça manquait de jolie filles dans ce restaurant, excepté la charmante serveuse en plein apprentissage de français. Allons plus loin, ce n'est clairement pas le type de restaurant où vous risquez de trouver des filles. Question de ligne, elles préfèreront aller aux sushis (et plus elles sont parisiennes, plus la probabilité augmente, mais ça changera peut-être dans le futur).

 

Pourquoi ?

 

Parce que dans ce genre de restaurant, vous vous retrouvez avec une platrée de viande.

UNE.

BONNE.

GROSSE.

PLATREE.

DE.

VIANDE.

 

Ce genre de restaurant est un cadeau du ciel pour les amateurs de viande.

 

PLEIN.

DE.

VIANDE.

EN.

FINES.

LAMELLES.

QUI.

CUIT.

JUSTE.

SOUS.

VOS.

YEUX.

 

L'amateur de ce produit sanguin pourra laisser goutter une larme en voyant ce délicieux produit se tortiller sous la puissance du barbecue, viande qui frétille sous la chaleur de la cuisson, qui papillonne en petits à-coups savoureux.

 

Enfin, c'était le plat que j'ai testé, du simple boeuf cru coupé en lamelles, un simple régal. Cette dernière était accompagné avec l'inévitable bol de riz, ainsi que plein de petites assiettes d'accompagnement comme du Kimchi, des pousses de soja bien préparés, des champignons trempant dans une sauce, des algues délicieuses, etc... Accompagnements servis à volonté pour le plaisir du palais.

 

N'exagérons rien non plus, la viande n'était pas ultime. Mais elle était largement suffisante et fondante dans la bouche, ce qui est l'essentiel. Ajoutez à cela des petits raviolis bien parfumés en entrée, des petits gâteaux coréens en dessert plutôt bon, sans compter un thé à la prunelle verte tout simplement exquis ainsi qu'une douce bière, vous savez maintenant pourquoi j'ai dépensé sans renâcler les 38 euros du repas.

 

En tout cas, il est maintenant clair que les sushis dégagent de mon menu pour remplacer par le barbecue coréen.

 

C'EST.

JUSTE.

TROP.

BON.

 

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18 mars 2011 5 18 /03 /mars /2011 21:14

Mmmhhhh... J'ai trente liens à poster sur ce blog. Faudrait que je fasse quelque chose un jour.

 

Oyé, oyé !

 

Nous sommes légions fainéants.

 

Faire un don, quelle galère. Faut cliquer plusieurs fois, filer ses coordonnées personnelles et tout, c'te merde.

 

Partir au Japon pour aider, ce serait totalement inutile, vu que de toute façon, les pros considèrent qu'on ne sera qu'une bande de sale merde qui ne feront que les gêner dans leur travail.

 

C'est pour ça que pour toutes les fainéasses de ce monde, qui passent juste leur temps devant des écrans de nature différente, il y a heureusement des types qui nous ont compris, ou plutôt, ont parfaitement compris comment utiliser une société occidentale qui a sombré dans la fainéantise et l'effort.

 

Et aujourd'hui, c'est Akira Toriyama ( Monsieur Dragon Ball et Dr Slump s'il vous plaît ) qui a eu une bonne idée (ou qui a été utilisé pour la mettre en avant - enfin bref, ne soyons pas mauvaise langue).

 

Vous voulez participer à l'aide au Japon ?

 

Et bien tout ce que vous avez à faire, c'est mater cette vidéo où Sangoku invoque un Genkidama. Voilà, c'est tout. Juste regarder une vidéo de 35 secondes. Difficile de faire plus simple. Un truc qui est en plus en parfaite adéquation avec le principe du Genkidama qui consiste à préléver un peu de l'énergie de chaque personne afin de faire un truc de ouf-de-la-mort-qui-tue-et-qui-fait-mal.

 

N'empêche, merci aux commentaires des articles sur Mary qui m'a permis de découvrir cette vidéo. Finalement, elle sert plus qu'on ne le croit, l'air de rien.

 

GENKIDAMA GO !

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5 mars 2011 6 05 /03 /mars /2011 06:00

Ce soir, je n'arrive pas à dormir.

 

La semaine a été absolument merdique vu que j'ai été malade pendant deux jours et que ça m'a fait rater une sympathique rencontre que je devais aller faire à Rennes. J'ai passé trois jours à ne faire que bouffer du scan. C'est dire à quel point mon esprit est actuellement dans un état de grande motivation.

 

'fin bref.

 

Pendant ce non-dormissage, j'ai tilté qu'on était en Mars. Outre le fait que c'est un mois à anniversaire par chez moi, je me suis rappelé que c'était aussi à cette époque que j'avais ouvert mon blog. Je pensais qu'il existait depuis deux ans. En fait, c'est bientôt trois. Wow. Déjà.

 

Par rapport aux objectifs du début, beeeeennnn... Finalement, ce blog est plus devenu un simple blog random sur les animes ou autres. Le trip puceau a finalement sombré assez rapidement. Pourtant, j'ai encore de quoi l'alimenter. Mais bon... Le temps passe et toussa.

 

Au final, ça donne quoi ?

 

Et bien, 395 articles quand même, dont le détail se trouve dans la partie Catégorie à droite de la page. Ce qui fait en très gros, un article tous les trois jours. Ma foi, je suis plutôt satisfait de ce résultat, je pensais qu'il était bien inférieur et que je tournais plus à un article tous les quatre jours du fait que j'ai quand même eu des pauses de une semaine par-ci et par-là. J'ai la bagatelle de 4337 commentaires actuellement, sachant que Mary en a géré à elle seule plus de 2500 commentaires si je prend en compte tous les articles qui lui sont liés. Ce qui fait qu'on peut dire que les autres articles ont récupéré entre 4 ou 5 commentaires en moyenne. C'est plus que je ne l'aurais pensé, même s'il faut prendre ce chiffre avec des pincettes forcément.

Du fait de Mary, je tourne à 70 visites par jour, avant j'étais à 50. Les articles de Sama ramènent 150 personnes quand je publie sur ce dernier. Pas grand chose d'autre à ajouter.

 

Qu'est-ce que je retire de tout ça ?

 

Ben pas grand chose en fait. Ca a été des fois amusants, des fois chiants, des fois inutiles, des fois agréables... Bon, j'avoue qu'avoir relevé la toute puissante Mary et tout le trafic que ça a généré (et génère encore) chez moi, c'est un peu mon petit succès à moi, ma petite réussite personnelle qui fait du bien à mon ego et me donne l'impression de ne pas avoir perdu trois ans pour rien finalement.

En dehors de ça.... Y'a rien de spécifique à en retirer. C'est un endroit où j'ai pu me défouler (tiens, pour Jack, s'il passe par là, une musique qui va lui plaîre) à l'occasion, hurler mon amour pour certaines choses et écrire des conneries absolument énormes (tiens, le camion poubelle passe en bas de chez moi, je ne compte plus le nombre de fois où je l'ai entendu passer et où j'ai mis dans des articles qu'il passait).

Concernant l'otakusphere, vu que c'est elle que j'ai le plus côtoyé depuis trois ans, j'en tire un bilan plutôt positif. C'est assez varié, on trouve de tout, l'ambiance est en général correcte, donc ça va. Enfin... J'dirais que si elle a un problème, c'est que ceux qui ont la capacité de la tirer vers le haut, sont aussi ceux qui la tirent vers le bas. Faut dire ce qui est, et je vais sans doute résumer les choses grassement, mais j'ai quand même l'impression le chan de l'editotaku, c'est un peu le 4chan de la otaksphere française. Ce sont les premiers à coller des tags sur les gens, lecteurs comme bloggueurs, et les premiers à râler sur les tags, les premiers à se plaindre de la médiocrité de la otakusphère française et les premiers à se comporter comme des haters dans les commentaires, et j'en passe. C'est ballot quelque part, car si on leur demande des infos, je suis sûr qu'ils sont prêt à les partager ou à expliquer tel ou tel truc. 

M'enfin, c'est pas comme si j'étais tout blanc aussi, disons que c'est une histoire de paille et de poutre. En tout cas, maintenant,  je pense que je modérerais les débats/critiques redondants. Et ce, à la hache, s'il le faut et si ça arrive. Ca dépendra de mon humeur, mais bon, ça ne devrait pas arriver trop souvent j'imagine. Mais je n'aurais plus une once de culpabilité à le faire, j'ai vu passer trop de débats stériles. 'fin bref.

 

 

Bilan ?

 

Ces derniers temps, je ne me sentais plus d'humeur à blogguer. Plus aucune motivation, ni rien. et ça consomme du temps en plus (saloperie de liens et d'image, ce sont les trucs les plus longs et chiants à faire, heureusement que je bâcle la mise en forme pour ne pas passer plus de temps qu'il ne le faudrait sur mes articles). Mais quand je vois tout ce que j'ai pu pondre, ça me donne envie de continuer encore un peu. Ptêt au même rythme, ptêt pas. On voira.

En tout cas, la chose que je suis en train de perdre, c'est mon intérêt pour les trolls. Faut dire qu'après Mary, ils paraissent tous fades maintenant. Je vais réinvestir les points de compétence que j'avais dans cette capacité, dans d'autres domaines, on verra lesquels. Ca va me dégager du temps libre en plus (mais faut pas déc', je vais quand même garder quelques points dans ce domaine, les habtudes ont la peau dure, je vais peut-être être plus... Sybillin dans mes interventions). Je me relirais bien tout mon blog en fait. Histoire de voir comment ma minable prose a pu évoluer en trois ans. Et retrouver des articles que j'ai oublié. J'en ferais ptêt un article bilan des articles à lire. Ca pourra être sympa.

 

Bah voilà quoi. Pas grand chose de plus à dire.

 

....

 

Ah si, je kiffe toujours autant Yotsuba.

 

...

 

Bon, on approche de 8 heures du mat", la question est de savoir si je reste éveillé pour aller faire des courses au marché, ou si je dors un peu vu que je suis claqué. Mais si je dors, je ne pourrais pas m'acheter de bonnes choses à bouffer et je vais encore bouffer n'importe comment pendant la semaine qui vient. Le choix est dur....

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21 février 2011 1 21 /02 /février /2011 17:27

Plop.

 

Je dois bien le reconnaître, depuis la fin de mes vacances, j'ai un peu de mal à me remotiver à blogguer. Il faut dire que le travail a commencé à se pointer réellement et m'a bien occupé lors de mon retour. Et puis, j'ai aussi récupéré une disque-dur de 300 gigas qui contient... 200 gigas d'anime et 100 gigas de film. Forcément, ça occupe. Et pis comme je mate tout plein la télé, je bois tout plein d'alcool, du coup, je me couche tard, je suis crevé le lendemain pour le taf', le taf' me crève un peu plus, je rentre chez moi avec l'envie de rien faire, du coup, je mate la télé, je rebois de l'alcool en même temps, je me recouche encore plus tard, et bis repetitae jusqu'à la fin de la semaine. Du coup, je passe toute une semaine totalement fracassé et incapable d'avoir une once de motivation pour faire quoique ce soit le soir (là, par exemple, je profte d'une pause au taf' pour gratter sur le blog... Parce que je sens que je n'aurai pas envie de faire quoique ce soit en rentrant chez moi, ou alors, boire en lisant des scans en retard de Letter Bee ou en regardant le film de merde sur le "Retour du Roi Scorpion". Un projet d'avenir sans nul doute).

 

Comme qui dirait, c'est trop pas un cercle vertueux. Mais genre quoi. Pas. Du. Tout. Bon, d'un autre côté, je me demande si cet état n'est pas lié au fait que pour fêter mes 30 ans, j'ai décidé d'arrêter l'alcool en solo et la clope. Deux gros défis quand même. Donc je me demande s'il n'y aurait pas une envie sous-jacente d'en profiter aussi avant que le couperet tombe (ben ouais, parce que, comme si ça ne suffisait pas, boire, ça fait fumer plus que d'habitude en plus). Ou si c'est plutôt une perversion de mon cerveau pour augmenter ma dépendance à ses drogues juste avant mon sevrage afin de pouvoir justifier le fait que je ne puis être sevré. Ce qui me fera plonger dans la culpabilité de ne pas avoir tenu ma promesse, ce qui me fera encore plus boire. Ce qui serait quand même sacrément pervers de la part de mon inconscient à la recherche de plaisir facile. Ce qui serait une magnifique mise en pratique de comment sombrer dans l'alcoolisme en même temps, s'il y a un docteur en recherche qui fait une thèse sur l'alcoolisme et qui passe dans le coin, je pourrai faire un bon cas d'étude, tiens.

 

L'inconscient, c'est quand même fourbe n'empêche. A la recherche de son plaisir immédiat, il me pousse à boire et fais culpabiliser mon subconscient. Ben ouais, ce dernier aime bien être tout saoûl, mais d'un autre côté, il se dit que ce serait bien de faire ces mises à jours sur ce blog et de ne pas larver, de se rappeler un peu mieux ces films que l'on voit dans un état second, d'écrire un rp que j'ai laissé de côté et je ne parle même pas d'autres écrits plus conséquents toujours en attente, de jouer aux jeux videos et j'en passe... D'un autre côté, ça se fait aussi bourré tout ça. Mais disons que l'on est un peu moins efficace quand même. Le côté le plus frustrant, c'est le fait de me lever le matin en me disant que ce serait bien que je ne boive pas ce soir, et finalement, quand le soir arrive, de céder à la tentation. C'est con, c'est un point qui fait que je n'aime pas Paris. Ben ouais, les commerces ferment tard. Du coup, il faut résister à la tentation de s'acheter un truc plus longtemps. C'est fourbe.

 

Enfin bon, ne dramatisons pas. Mais bon, ce serait bien que je mette un coup de collier quand même. Faudrait pas trop se laisser entraîner. Ou prévoir quelques tonnes de sucreries pour après mon anniversaire :D

 

Mais bref !

 

Ca fait longtemps que je n'ai rien mis par ici et donc, vous savez quoi ? J'ai plein de liens qui traînent à vous faire partager !

 

Et donc :

 

- A court de dés pour vos JdR ? Une solution de remplacement ici !

- Pour les amateurs, y'a une grosse réduction par là des jeux Squaresoft.

- Vous kiffez les dialogues d'Audiard ? En voici une belle scène ici !

- Vous avez une réunion à préparer et il vous manque des éléments pour la rendre plus longue que 30s ? Pas de soucis, le pipotronic est là pour vous !

- Vous vous faites chier aux réunions ? Jouer au bingo ! Résultat garanti en combo avec le pipotronic !

- Sony promet des choses. Y'a plus qu'à attendre pour voir....

- Connaître le japonais, ça peut servir !

- Ce site propose une compilation des requêtes faites sous Google. Y'a de la bonne !

- Bing vole Google !

- Un joli fake pour la 3DS.

- De quel couleur êtes-vous ?

- DRAMA TWILIGHT !

- La fin de Guitar Hero. Il paraît que des gens se sont suicidés à coup de guitare en plastique ou ont commis des meurtres avec leur guitare.

- Le HK a bouffé. Bonne nouvelle.

 

Et pour finir, une expo qui déchire ! Comme je le disais à mes collègues, bosser sur un truc pareil, ça doit donner vachement plus envie d'aller au taf.

 

Et pour finir, j'ai bien aimé le petit mot de Pascal Riché (un des fondateurs de Rue89, lorsque Nicolas Sarkozy est passé à la télé en même temps que l'Egypte s'agitait :
"Moubarak garde son titre mais dévalue ses pouvoirs. Sarkozy garde ses pouvoirs mais dévalue son titre. "

 

Mignon.

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1 février 2011 2 01 /02 /février /2011 13:58

En tombant sur cet article, je me suis dit :

 

"Tiens, et si..."

 

Les logorrhées de ma mémoire et de mes réflexions m'ont alors amené à un constat décisif.

 

Vous vous souvenez de slogan : "Vu à la télé" qu'on apposait sur les affiches et autres, il y a 10 ans ?

 

La légende urbaine disait que le type qui l'avait déposé, s'était fait des couilles en or. C'est peut-être une occasion de se faire des couilles (ou des ovaires, soyons paritaires) en or, chers lecteurs et lectrices.

 

Déposez-vite les noms :

"Deal avec Facebook."

"Promotion Facebook."

"Facebook partner." (ou "Partenaire Facebook.", ne sombrons pas dans l'anglicisme facile)

"Suce Facebook." (oups, pardon)

Et j'en passe des milliers d'autres.

 

Mais je suis prêt à parier qu'un slogan du type va apparaître sur les écrans TV sous peu, sous l'impulsion des marques partenaires de facebook, histoire de reprendre le concept du support "in" sur le support "moins in" (à l'époque, la TV, c'était hachement in quand même, maintenant, c'est internet qui est in). C'est évident. Bon, je doute quand même qu'ils ressortent "Vu sur Facebook", mais on ne sait jamais.

 

Bref, si vous voulez gagner un peu d'argent ou être dans le prochain biopic de Mark Zurenberg suite aux 5142 procès qu'il vous fera (le procès, l'arme des riches contre les pauvres qui ont des bonnes idées ou essayent de profiter du système), courez déposer des slogans à l'INPI (notons que ça apparaît quand même un peu impossible à faire).

 

En tout cas, si vous avez d'autres propositions, n'hésitez pas à les poster en com', ça pourrait être rigolo ( et comme ça, avec un peu de bol, j'irai les revendre à facebook, en mettant en avant que ces slogans sont issus de la propriété intellectuelle de mon blog ce qui fait qu'ils ne peuvent les réutiliser. Allez, ça devrait tenir... 35 secondes devant leurs avocats, dont 27 secondes de rire. Faire rire un avocat aussi longtemps, c'est quand même un exploit en soi).

 

 

 

Et sinon, des liens à vider :

 

- un jeu arcade où il faut reconnaître des animes (tiens, c'est bien la première fois que je kiffe autant un truc de NoLife)

- la bière d'Homer Simpson arrive en France !!!

- un concours de moe

- les hologrammes passent au tactile

- Martine est orpheline

- tiens, il a un zoli champignon en arrière-plan

- Sony veut lutter contre le piratage. And again.

 

 

Deux images à la con :

 

Download-1

 

 

ville.jpg

 

 

 

Et une blague à la con :

 

 

Arrivée au paradis,une vieille femme passe devant St-Pierre.

Une fois tous les tests passés et réussis, St-Pierre lui souhaite la bienvenue au Paradis et lui fait visiter les lieux.

Durant la visite,un cri strident se fait entendre.Mais qu'entendons-nous là ?demande la vieille dame.

Oh, ce n'est rien, répond St-Pierre,on est juste en train de percer le dos d'une personne pour lui planter des ailes d'ange.

Ah bon! .. et ben .... dit, un peu perturbée,la vieille dame.

Un peu plus tard, un cri effroyable se fait entendre.

Ahhh !!!Mais qu'est-ce que c'est que ce bruit terrifiant?crie la vieille dame, horrifiée.

Mais rien, on perce juste la tête d'une personne pour lui fixer son auréole,lui dit calmement St Pierre.

Mais c'est trop horrible, ici !!!Je préfère aller en enfer, moi !!!dit la vieille dame.

Mais vous n'y pensez pas,lui dit St-Pierre, là-bas,vous allez vous faire violer et sodomiser !!!

Et la vieille dame lui répond :Peut-être, mais au moins,les trous sont déjà faits!

 

 

Et surtout, je croise les doigts pour que les manifestations égyptiennes aboutissent... Sans que le sang ne coule.

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